Étiquette : Paul Schrader

FESTIVAL DE CANNES (2024)

[CRITIQUE] Oh, Canada ! – Rédemption, ou pas

Après sa trilogie de la rédemption composée de Sur le chemin de la rédemption, The Card Counter et Master Gardener, il était intrigant de se demander où l’éminent Paul Schrader allait nous emmener avec Oh, Canada !, adaptation du roman éponyme de Russell Banks. Ce récit relate l’interview ultime de Leonard Fife (incarné par Richard Gere), célèbre documentariste canadien, décidé à révéler enfin toute la vérité sur sa vie. Cette confession est filmée sous les yeux de sa dernière épouse,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Master Gardener – Jardiner un désir de provocation

La trilogie libre de Paul Schrader, comprenant Sur le chemin de la rédemption, The Card Counter et maintenant Master Gardener, a suscité un vif intérêt parmi les cinéphiles. Schrader, connu pour ses films explorant la psyché tourmentée de ses personnages, se concentre sur des hommes solitaires confrontés à leurs péchés du passé et à la recherche d’une voie à suivre dans un monde qui leur semble étranger. Cependant, malgré des attentes élevées, Master Gardener ne parvient pas à être à

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Nicolas Cage, en 50 nuances (ou pas)

Nicolas Cage est l’un de nos acteurs préférés, bien que cela puisse soulever quelques sourcils étant donné la controverse autour de son talent. Pour certains, il est connu pour ses rôles dans des films de série B ou des nanars de toutes sortes (et nous ne pouvons pas les contredire). Pour d’autres, c’est un interprète talentueux qui a travaillé avec des réalisateurs tels que Schrader, les frères Coen, John Woo, Michael Bay, David Lynch, Martin Scorsese, De Palma, et même

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] The Card Counter – Le “All-In” de Schrader

“Si ce n’est point pour les deniers sonnants, pourquoi donc s’adonner au jeu ?“, s’interroge-t-on. À cette interrogation, le joueur professionnel William Tell, incarné par l’habile Oscar Isaac, répond d’un ton badin : “Pour égrener les heures monotones“. Ainsi esquissée, sa réplique dresse le portrait de Tell en une figure à la fois téméraire et espiègle, mais également teintée d’une moralité feinte, tandis que son regard impassible se fixe sur celui de son interlocutrice, La Linda, campée par Tiffany Haddish.

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