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Étiquette : Louise Bourgoin

FILMS

[CRITIQUE] Bis Repetita – Veni vidi vici

Pour bon nombre d’entre nous, l’étude du latin était une épreuve à surmonter pendant plusieurs années, dans l’espoir éventuel de visiter l’Italie. Malheureusement, de nos jours, de nombreux établissements scolaires peinent à trouver des fonds pour financer de telles excursions, entre autres sorties, en raison des restrictions budgétaires imposées par un gouvernement réduisant drastiquement les budgets de l’Éducation Nationale, au point où certains édifices ne peuvent même plus être chauffés en hiver. Cependant, c’est au sein des cours de latin

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Un Métier sérieux – Ils manquent de corps tes enseignants

Dans Un Métier sérieux, le réalisateur Thomas Lilti, connu pour ses précédents films et séries explorant le monde médical (Médecin de campagne, Hippocrate, Première Année) aborde le domaine de l’éducation nationale. Malheureusement, en dépit d’un sujet riche en potentiel, des personnages variés et des péripéties intéressantes, le film reste en surface et ne parvient pas à exploiter pleinement son potentiel narratif. Plus spécifiquement, la scène du conseil de discipline, pourtant cruciale, est la seule du film à être véritablement développée

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] C’est mon homme – Premiers amours

Un premier film, c’est toujours captivant. Pour réaliser un long-métrage, l’écrire, le financer et le tourner, c’est un parcours du combattant. Alors quand on regarde une première œuvre c’est forcément intéressant, car on assiste au résultat d’années de travail et d’obsessions. C’est mon homme est donc un premier film, celui de Guillaume Bureau, qui après plusieurs courts métrages se lance dans la réalisation de son long. L’histoire est simple, mais terriblement efficace : un soldat de la première guerre mondiale, Julien

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[CRITIQUE] La Montagne – Le vent le portera

La Montagne est un film très simple d’accès, sur la quête d’un repos existentiel pour un ingénieur parisien tout juste licencié de sa fonction. Comme pour Vincent n’a pas d’écailles (2014), Thomas Salvador mêle plusieurs registres, dramatique comme fantastique pour le périple de son héros. Contre toute attente, le réalisateur magnifie son sujet propre en rendant un idéal inaccessible, pas si loin de nous, pour croire encore à ses rêves et espérer un nouveau lendemain. Car cela est bien le

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