
Superman | Le poids d’un symbole
Critique | Superman de James Gunn | 2h09 | Par Louan Nivesse
Critique | Superman de James Gunn | 2h09 | Par Louan Nivesse
Rétrospective | James Gunn | Par Louan Nivesse
Il s’en est passé des choses depuis que James Gunn s’est amusé à fouiller ses vieux cartons de comics pour Marvel. Viré par le studio après deux films et cinq ans de bons et loyaux services, réembauché quelques mois plus tard malgré un passage chez la concurrence (pour le déjanté The Suicide Squad), le réalisateur rempile pour le troisième épisode (ou « volume » selon le titre) des Gardiens de la Galaxie. Le dernier sous sa direction, car le bonhomme est entre-temps
Peacemaker est en grande partie une continuation de The Suicide Squad, James Gunn ayant écrit tous les épisodes et réalisé la majorité d’entre eux. La série tente certainement d’adopter le même ton, en présentant Christopher Smith, alias Peacemaker, comme le pire super-héros qui soit, jurant d’apporter la paix, mais au lieu de le faire, il finit par tuer tous ceux qui se trouvent sur son chemin. Avec la même énergie et le même sens de l’humour, la série, comme le
L’un des deux cadeaux d’adieu avant que James Gunn ne parte à DC pour tenter d’insuffler à leur production morose le même genre de magie qui a fait de Peter Quill et sa bande le cœur battant du MCU, Les Gardiens de la galaxie : Joyeuses fêtes fait office de précurseur du Les Gardiens de la galaxie Vol. 3 de l’été prochain. Cette folie festive est-elle pour autant indispensable ? Eh bien, à moins d’un échange réconfortant entre deux personnages
Une citation circule selon laquelle le scénariste et réalisateur James Gunn aurait pu faire « tout ce qu’il voulait » sur The Suicide Squad. C’est quelque chose que mon esprit a quelque peu écarté de son discours promotionnel, même si je savais que ça allait être sauvage. Après avoir vu le film, je suis maintenant convaincu que personne chez Warner Bros. (et certainement pas un algorithme d’entreprise) ne regardait par-dessus les épaules du fou furieux pendant qu’il concevait ce qui est incontestablement