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Étiquette : Gary Oldman

FESTIVAL DE CANNES (2024)

[CRITIQUE] Parthenope – Le retour du Voyage

Le retour tant attendu de Paolo Sorrentino se fait enfin sentir, lui qui nous a récemment gratifiés de Silvio et les autres et La Main de Dieu pour Netflix. Sorrentino n’est pas seulement un conteur de fables et de périples; ceux qui l’ont découvert avec La Grande Bellezza et Youth attendaient avec impatience un nouvel opus de cette envergure, et Parthenope semble répondre à ces attentes. Parthenope narre l’histoire d’une jeune fille éponyme, incarnée par la sublime Celeste Dalla Porta,

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SERIES

[CRITIQUE] Slow Horses – Vivre peut attendre

Alors que la troisième saison de Slow Horses vient d’arriver sur Apple TV, revenons ensemble sur cette fantastique série d’espionnage. Composée de dix-huit épisodes répartis en trois salves de six, elle raconte l’histoire d’une bande d’espions britanniques appartenant au MI5. Ici, pas de James Bond à l’horizon, mais plutôt les « veaux », c’est-à-dire les ratés du célèbre service d’espionnage. Tous les protagonistes font partie de ce service, nommé « l’établi », qui regroupe les indésirables et est dirigé d’une

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Mank – rendez-vous manqué

Mank se distingue singulièrement de l’ensemble de l’œuvre du réalisateur David Fincher. Il nous offre un retour, empreint d’une folie divertissante, vers l’âge d’or du cinéma hollywoodien, en pleine ébullition politique, secoué par des loyautés éprouvées et une propagande insidieuse. Il s’agit d’une déclaration d’amour, non seulement envers les visionnaires de l’industrie cinématographique, mais également envers son propre père. Chaque élément du film est soigneusement façonné, créant une œuvre d’une beauté minutieuse. Cependant, il convient de noter que votre appréciation

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] La Femme à la fenêtre – Melting-pot de flatteries

Le film de Joe Wright La Femme à la fenêtre doit beaucoup à presque tous les films d’Alfred Hitchcock jamais réalisés, en particulier dans leur ton, leurs visuels et leur humeur. Encore une fois, vous ne pouvez pas blâmer Wright parce que le matériel source par A.J. Finn est une arnaque directe de ces films. L’un étant Fenêtre sur cour, et l’autre, dans une moindre mesure, Psychose. Il faut se demander si le film et les créateurs ont payé pour

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