
Parthenope | Le retour du Voyage
Critique | Parthenope de Paolo Sorrentino | 2h16 | Festival de Cannes 2024 | Par Louan Nivesse
Critique | Parthenope de Paolo Sorrentino | 2h16 | Festival de Cannes 2024 | Par Louan Nivesse
Alors que la troisième saison de Slow Horses vient d’arriver sur Apple TV, revenons ensemble sur cette fantastique série d’espionnage. Composée de dix-huit épisodes répartis en trois salves de six, elle raconte l’histoire d’une bande d’espions britanniques appartenant au MI5. Ici, pas de James Bond à l’horizon, mais plutôt les « veaux », c’est-à-dire les ratés du célèbre service d’espionnage. Tous les protagonistes font partie de ce service, nommé « l’établi », qui regroupe les indésirables et est dirigé d’une
Mank se distingue singulièrement de l’ensemble de l’œuvre du réalisateur David Fincher. Il nous offre un retour, empreint d’une folie divertissante, vers l’âge d’or du cinéma hollywoodien, en pleine ébullition politique, secoué par des loyautés éprouvées et une propagande insidieuse. Il s’agit d’une déclaration d’amour, non seulement envers les visionnaires de l’industrie cinématographique, mais également envers son propre père. Chaque élément du film est soigneusement façonné, créant une œuvre d’une beauté minutieuse. Cependant, il convient de noter que votre appréciation
Le film de Joe Wright La Femme à la fenêtre doit beaucoup à presque tous les films d’Alfred Hitchcock jamais réalisés, en particulier dans leur ton, leurs visuels et leur humeur. Encore une fois, vous ne pouvez pas blâmer Wright parce que le matériel source par A.J. Finn est une arnaque directe de ces films. L’un étant Fenêtre sur cour, et l’autre, dans une moindre mesure, Psychose. Il faut se demander si le film et les créateurs ont payé pour