[CRITIQUE] The Nocebo Effect – Une pauvre dialectique du mal
Il y a deux sortes de films cliniques, en gros : le film qui vit et respire la stérilité comme son sujet, employant une précision absolue dans le diagnostic des pathologies et des émotions, et le film qui, plutôt involontairement, recycle ses métaphores d’anxiété et de déplacement corporels avec une intention maladroite. The Nocebo Effect, le deuxième film de Lorcan Finnegan, entre tout à fait dans cette dernière catégorie. Portrait d’une domesticité bourgeoise brisée par l’intrusion de l’Autre, The Nocebo