
Hiver à Sokcho | Un monde figé
Brève | Hiver à Sokcho de Koya Kamura | 1h45min | Par Louan Nivesse
Brève | Hiver à Sokcho de Koya Kamura | 1h45min | Par Louan Nivesse
Critique | Leurs enfants après eux de Ludovic et Zoran Boukherma | 2h21 | Par Louan Nivesse
Critique | Here – Les plus belles années de notre vie de Robert Zemeckis, 2024 | Par Axel Errero |
Critique | Noël à Miller’s Point de Tyler Taormina, 2024 | 1h46 | Par Louan Nivesse |
Critique | Juré n°2 de Clint Eastwood, 2024 | Par Alexeï Paire |
Critique | Apple TV+ | Blitz de Steve McQueen, 2024 | 2h00 | Par Louan Nivesse |
Critique | La Noire de… d’Ousmane Sembene, 1966| 1h00 | Par Pierre Laudat |
Critique | Desert of Namibia de Yoko Yamanaka, 2024 | 2h17 | Par Louan Nivesse |
L’écran s’allume. Une lumière blanche traverse la salle obscure, et avec elle, le visage de Lee Miller apparaît, fumant une cigarette, l’air absent, comme perdue dans un rêve qu’elle n’aurait jamais voulu faire. Le biopic éponyme d’Ellen Kuras, semble vouloir nous montrer tout ce qu’elle fut : photographe de guerre, muse surréaliste, féministe avant l’heure. Mais très vite, quelque chose cloche. On ne sent pas la chair sous la peau, ni les tremblements d’un corps habité par l’horreur. L’image de
Premier long-métrage de fiction pour Payal Kapadia, après son documentaire Toute une nuit sans savoir (2021), All We Imagine as Light raconte l’histoire de trois femmes indiennes : deux infirmières et une de leurs amies, dans un hôpital de Mumbai. Tout semble les opposer. Elles sont d’âges différents, parlent parfois des langues différentes, viennent d’ethnies diverses et, surtout, ont des visions divergentes de l’amour et de la vie. Pourtant, ces trois femmes partagent un même projet ambitieux : déjouer les