Étiquette : David Fincher

ANALYSE

[ANALYSE] Le Monde après Nous & The Killer – Dosage d’Informations

Le Monde après Nous, la nouvelle production Netflix réalisée par Sam Esmail, narre l’histoire d’une famille qui se retrouve isolée du reste du monde dans un Airbnb. Une nuit, deux individus frappent à leur porte, se présentant comme les propriétaires de la location, et insistent pour y rester, affirmant que la fin du monde est en train de se dérouler. Les vingt-cinq premières minutes du film semblent prometteuses, car elles soulèvent de nombreuses questions. Sont-ils véritablement les propriétaires ? L’apocalypse

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Mank – rendez-vous manqué

Mank se distingue singulièrement de l’ensemble de l’œuvre du réalisateur David Fincher. Il nous offre un retour, empreint d’une folie divertissante, vers l’âge d’or du cinéma hollywoodien, en pleine ébullition politique, secoué par des loyautés éprouvées et une propagande insidieuse. Il s’agit d’une déclaration d’amour, non seulement envers les visionnaires de l’industrie cinématographique, mais également envers son propre père. Chaque élément du film est soigneusement façonné, créant une œuvre d’une beauté minutieuse. Cependant, il convient de noter que votre appréciation

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] The Killer – Erreur fatale

Après Mank, biopic sorti en pleine pandémie sur Netflix fin 2020, David Fincher revient avec The Killer, un thriller en partie tourné à Paris et adapté d’une bande-dessinée française, qui sortira également sur la plate-forme le 10 novembre. Le programme est simple : un tueur rate sa cible, et ses employeurs torturent sa compagne en guise de punition, ce qui le lance dans une chasse à l’homme implacable pour se venger et assurer sa sécurité. Un postulat simple, relativement convenu

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Limbo – Noirceur infernale

Sorti à Hong-Kong en 2021, et diffusé quelques semaines plus tard à l’étrange festival à Paris, Limbo arrive enfin dans les salles françaises. Nous suivons deux inspecteurs de police qui pourchassent un tueur en série qui démembre ses victimes, toutes des femmes. Le postulat et l’ambiance visuelle du film rappellent Dog Bite Dog, que Soi Cheang a réalisé en 2006, à travers cette traque sans répit d’un tueur dans des recoins sales et lugubres de Hong-Kong. À la différence qu’ici,

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PAR SAISONS

[CRITIQUE] Love, Death & Robots (Saison 2) – Pas de réinvention pour maîtriser l’animation à la perfection.

Il y a un niveau de liberté dans la narration que les séries d’anthologies permettent, ce qui est souvent impossible ailleurs. Le format a explosé au cours de la dernière décennie, en particulier en ce qui concerne la narration de genre. Love, Death & Robots ne bénéficie pas seulement de la polyvalence de son format d’anthologie, mais aussi de la nature illimitée de l’animation, ainsi que de la nature révolutionnaire de la science-fiction et de l’horreur. La première saison de

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