Étiquette : 48e Festival de Deauville

48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Alice – Aux pays des panthers

Il convient d’appréhender la première œuvre cinématographique de la scénariste et réalisatrice Krystin Ver Linden, Alice, avec une certaine délicatesse, car le degré de satisfaction qu’elle procure dépend intrinsèquement de la réaction du spectateur face au dénouement survenant après 39 minutes de projection. Ver Linden amorce ce drame, s’inspirant d’événements réels, en présentant le personnage éponyme, incarné par Keke Palmer, qui s’unit à Joseph (interprété par Gaius Charles) dans un environnement de servitude, au sein d’une plantation de Géorgie, peu

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48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Watcher – Arts et fenêtre bien Courbet

Le récit de Watcher s’amorce avec l’arrivée à Bucarest, en Roumanie, de Julia (incarnée par Maika Monroe) et de son compagnon, Francis (interprété par Karl Glusman). Attiré par une opportunité professionnelle dans la capitale roumaine et ayant des attaches familiales dans le pays, Francis convainc Julia de s’y installer. Si Francis maîtrise le roumain, Julia, elle, ne possède que quelques rudiments de la langue, s’efforçant d’en apprendre davantage par le biais de leçons audio, souhaitant ainsi moins dépendre de Francis

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48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Call Jane – Jane, au secours

La réalisatrice Phyllis Nagy, célèbre pour son travail sur Carol, en lice pour les Oscars, inaugure son entrée dans le monde cinématographique avec le récit incontestablement significatif des “Janes”, une organisation qui s’est engagée dans la clandestinité pour procurer des avortements aux femmes entre 1969 et 1973. Malgré des performances d’acteurs convaincantes et une mise en scène solide, ce modeste drame d’époque flirtant souvent avec l’académisme. L’intrigue de Call Jane débute à Chicago en 1968, où Joy (Elizabeth Banks), une

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C'est fini, snif