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Catégorie : FILMS

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CQL’EN BREF] Peg O’ My Heart (Nick Cheung)

Peg O’ My Heart est le quatrième long-métrage réalisé par Nick Cheung, acteur vétéran ayant joué dans certains des meilleurs films de Johnnie To, ainsi que dans le remarquable On the Edge d’Herman Yau au début des années 2000. Le film raconte les troubles du sommeil et les hallucinations vécues par un chauffeur de taxi, Choi San-keung, et son médecin, le Dr. Man. Alternant constamment entre rêve et réalité, et les brouillant souvent, il peine à développer son intrigue de

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[CRITIQUE] Kill – Permis de tuer

Présenté lors de l’ouverture de l’Étrange Festival, Kill se distingue d’emblée par sa durée, nettement inférieure à la barre des deux heures. L’histoire commence avec un mariage arrangé entre Tulika et un prétendant choisi par sa famille. Cependant, son véritable amour, Amrit, un membre des forces spéciales, décide d’intervenir en montant à bord d’un train en direction de New Delhi. Mais ce train est attaqué par un gang de voleurs qui prend les passagers en otage. La majorité des œuvres

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[CRITIQUE] À son image – La Photographie comme Mémoire et Rébellion

Thierry De Peretti, réalisateur connu pour Les Apaches et Une Vie Violente, entre autres, a toujours suivi un style de mise en scène singulier. Il privilégie la diffusion de la parole par des mouvements lents de sa caméra et porte un regard particulier sur la Corse, sa région natale. Son avant-dernier film, Enquête sur un scandale d’État, sorti en 2022, se distingue en ancrant son récit à Paris, contrairement à ses trois autres longs-métrages. Il offre également une plongée dans

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[CRITIQUE] Tatami – Une lutte pour l’Existence

Un espace clos, des règles strictes, une lutte acharnée. Sur le tatami, chaque mouvement compte, chaque décision est cruciale, et chaque erreur peut coûter cher. Tatami explore cet espace confiné non seulement comme un lieu de compétition sportive, mais aussi comme une métaphore puissante des contraintes imposées aux femmes en Iran. Réalisé par Zar Amir-Ebrahimi et Guy Nattiv, ce long-métrage, avec son esthétique monochrome et son rythme haletant, nous entraîne dans un tourbillon où le sport devient un terrain miné

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[CRITIQUE] Blink Twice – Marqueur temps

Sur une île tropicale où le champagne et la séduction coulent à flots, un décor paradisiaque de soleil éclatant et d’eaux turquoise cache une réalité bien plus sombre. Frida (Naomi Ackie), une serveuse sans le sou, est introduite dans ce monde luxueux par Slater King, un milliardaire de la technologie incarné par Channing Tatum. Derrière son charme et sa prétendue quête de rédemption, Slater cache une nature profondément manipulatrice. Son personnage incarne parfaitement cette culture toxique où les hommes de

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[CRITIQUE] Kinds of Kindness – Yorgos et les Z’Inhumains

Yorgos Lanthimos, souvent qualifié de « fou grec » du cinéma moderne, franchit une nouvelle étape avec Kinds of Kindness. Son style, d’ordinaire incontestablement original et radical, se mue ici en une expérimentation plus ample et labyrinthique, incarnée dans un triptyque audacieusement désordonné où se mêlent perversité et absurdité. La formule intrigante de l’auteur semble être un amalgame de dérision acérée et de défi esthétique, tandis que son œuvre oscille entre les extrêmes de l’excès et de l’étrangeté presque glaciale.

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[CRITIQUE] Les Graines du Figuier sauvage – Enlacer pour mieux régner

L’un des événements les plus marquants de l’année cinématographique 2024 est, sans aucun doute, la venue de Mohammad Rasoulof au Festival de Cannes pour présenter sa dernière œuvre. Ce qui rend cet événement si spécial, c’est que le réalisateur avait été condamné à de la prison ferme par le régime iranien peu de temps auparavant. Bien que ce ne soit pas sa première condamnation, il a réussi à s’évader du pays, comme d’autres dissidents du régime. Le cinéaste n’a jamais

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[CRITIQUE] The Crow – La Résurrecfion

Lorsqu’on évoque The Crow, il est impossible de ne pas évoquer l’ombre indélébile de Brandon Lee, dont la prestation bouleversante de 1994 a laissé une empreinte inoubliable dans la mémoire collective. La nouvelle adaptation de Rupert Sanders se devait de relever le défi délicat de naviguer entre le respect de cet héritage sacré et l’innovation nécessaire pour moderniser le récit – tout en tentant, peut-être de manière cynique, de forger une nouvelle icône pour une jeunesse en quête de repères.

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] The Crow (1994) – À la vie, à la mort !

The Crow s’apparente à un cauchemar gothique, une fresque sombre et éclatante de Détroit, évoquant les paysages urbains désolés de Batman ou Blade Runner. Dès les premières images, il devient évident que, malgré quelques failles possibles, celles-ci ne se trouveront certainement pas dans la qualité de la mise en scène. Ce long-métrage est non seulement un festin pour les yeux, mais aussi une expérience sensorielle intense, sublimée par une bande-son stridente qui maintient une atmosphère oppressante tout au long. Une

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[CRITIQUE] Alien : Romulus – Copie sans ratures

Passage obligatoire à une époque d’industrialisation (ou d’essorage) des franchises, c’est maintenant à la saga Alien de procéder à son petit redémarrage. Reprise des mains du père Ridley Scott, qui doit désormais guetter la chose depuis son siège de producteur, cette dernière atterrit dans celles du cinéaste sud-américain Fede Álvarez, un habitué des « films de relance » qui s’adonne une fois de plus à sa spécialité. Intercalée entre celle du volet originel et du suivant, l’intrigue d’Alien : Romulus

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C'est fini, snif