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Auteur : Louan Nivesse

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[CRITIQUE] CODA – Ça ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd

Dans une année où les nouvelles du soir sont souvent bien trop lourdes, il est important de trouver une chaleur légère quand on le peut. Heureusement, CODA, le film à succès du festival du film de Sundance de cette année, est le baume parfait pour ces temps-ci. Sorti sur Apple TV+, CODA a séduit le public lors de sa première apparition au festival plus tôt cette année, et il est clair que les éloges n’étaient pas déplacés. Le film est

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[CRITIQUE] Beckett – Thriller paranoïaque alambiqué en pleine crise Grecque

Les dix premières minutes de Beckett contiennent un certain nombre de scènes étranges et d’échanges de dialogues qui donnent l’impression qu’ils pourraient servir d’indices dans la grande conspiration grecque qui se dessine. On y voit le personnage éponyme de Beckett (interprété par John David Washington, qui joue le rôle comme s’il était coincé à l’intérieur d’une variante de Tenet) et sa compagne April (Alicia Vikander, qui essaie de tirer le meilleur parti d’un temps d’écran limité dans l’un des rôles

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Free Guy – Le jeu-vidéo sous les projecteurs

Free Guy poursuit la tendance récente selon laquelle les meilleurs films sur les jeux vidéo ne sont pas des adaptations bâclées mais des films qui explorent et déconstruisent leurs mécanismes. Réalisé par Shawn Levy (qui, à un moment donné, dirigeait l’adaptation de Uncharted) avec un scénario de Matt Lieberman et Zak Penn (ce dernier était scénariste du fantastique Ready Player One de Steven Spielberg), l’univers du film est celui d’une métropole chaotique connue sous le nom de Free City, qui

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[CRITIQUE] Escape Game 2 : Le monde est un piège – Suite à l’excès mortel

Le film d’horreur de 2019, Escape Game, a été une (mini-)surprise. Le concept d’une salle d’évasion mortelle est évident, mais le film du réalisateur Adam Robitel a apporté de l’innovation et du spectacle à l’idée, ainsi qu’un groupe de personnages véritablement sympathiques plutôt que de la chair à canon oubliable. Une suite a immédiatement été lancée, avec un sentiment d’inévitabilité étant donné le potentiel évident de la franchise et l’orientation évidente fournie par la fin du premier film. Mais là

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46ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2020)

[CRITIQUE] Rouge – Dark Waters à la française

Le modeste homologue français d’Erin Brockovich et du récent Dark Waters de Todd Haynes, Rouge oppose une fois de plus un intrépide interlope aux forces cupides des entreprises et à une tragédie écologique imminente. L’accroche, cette fois-ci, réside dans le fait que cet intrus, incarné par la talentueuse Zita Hanrot (La Vie scolaire), se trouve en lutte trop proche de son propre foyer, son père étant un vétéran de l’usine qui souille dramatiquement sa région. Deuxième long-métrage du comédien reconverti

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[CRITIQUE] Vivo – L’éclatante musique de Miranda continue de vivre

C’est une grande année pour Lin-Manuel Miranda. Hamilton tourne toujours sur Disney+, In the Heights qui est l’un des films ayant fait le plus de bruits lors de sa sortie. Il collabore de nouveau avec Disney pour Encanto et son premier film Tick, Tick… Boom ! sortira avant la fin de l’année sur Netflix. Initialement conçu par Sony Animation pour une sortie au cinéma, le film a été vendu à Netflix dans le cadre du remaniement des calendriers de sortie

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Pour l’éternité – Succession d’histoires courtes, perpétuelle perdition

Dernier film de l’auteur suédois Roy Andersson, Pour l’éternité saisit la condition humaine dans toute sa gloire terne et grandiose, le tout en 76 minutes concises. S’apparentant davantage à un coup d’œil sur des coups de pinceau rapides qu’à un regard sur une peinture complète, Pour l’éternité est composé d’une série de courtes vignettes présentant une variété de moments arbitraires de malheur, de souffrance, de désespoir, d’amour, de perte et de méandres existentiels. Un groupe éclectique de personnages anonymes vit

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[CRITIQUE] Ice Road – Comment couler sous la glace sans avancer ?

Pour tous ceux qui en ont assez de voir Liam Neeson ramasser des armes, tuer des criminels, sauver des membres de sa famille ou arrêter des terroristes (parfois une combinaison des trois dans un même film), une chose positive à dire sur Ice Road est qu’il s’agit d’une façon rafraîchissante de donner à la star d’action senior quelque chose dans sa fin de carrière qui est à la fois similaire et différente. Mais, malheureusement, c’est aussi là que s’arrête tout

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[CRITIQUE] American Nightmare 5 : Sans limites – La purge atteint ses limites, ils le savent, ils continuent

American Nightmare a commencé comme une franchise avec un concept intriguant qui s’est épuisé si vite que, honnêtement, je ne peux même pas vous dire combien il y en a, ce que je fais habituellement assez bien de mémoire. Ce n’est pas tant qu’il s’agit du même film à chaque fois, mais plutôt qu’ils se ressemblent et se sentent semblables, tout en échangeant des types de personnages différents (les politiciens dans American Nightmare 3 : Élections, par exemple) pour certains

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[CRITIQUE] Banishing : La Demeure du mal – Retour gagnant pour Christopher Smith ?

Banishing : La Demeure du mal raconte l’histoire de la maison la plus hantée d’Angleterre. Dans les années 1930, avant le début de la Seconde Guerre mondiale, Marianne (Jessica Brown Findlay) s’installe dans un vieux manoir avec son mari Linus (John Heffernan) et sa fille Adelaide (Anya McKenna-Bruce). Marianne commence bientôt à voir des choses étranges et à remarquer qu’Adelaide se comporte bizarrement. Pour comprendre ce qui se passe, elle doit trahir la foi chrétienne de Linus et chercher un

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C'est fini, snif