[CRITIQUE] La Jeune fille et les paysans – La belle et les bêtes
La création cinématographique s’érige en un défi captivant, où l’art réside dans l’harmonie parfaite des éléments en présence. Chaque récit requiert un style qui lui est propre, où l’audace et la nouveauté défient toute tentation de répéter les succès passés. Cette inclination, parfois perceptible chez certains éminents réalisateurs, soulève la question : est-il vraiment nécessaire que chaque œuvre de Quentin Tarantino s’inscrive dans une narration non linéaire ? Il semble que cette attente, bien que désormais coutumière, ne soit pas