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Étiquette : Mia Goth

ACTUALITÉ CINÉMA - EN SALLES, (S)VOD, etc..

[CRITIQUE] MaXXXine – Le carnaval des illusions

En construisant son œuvre autour de clins d’œil et de références largement reconnues par les cinéphiles avertis, Ti West édifie une œuvre acerbe et résolument cinéphile qui se densifie avec le temps. Avec MaXXXine, il confirme son approche post-moderniste du genre horrifique en s’appuyant non seulement sur des repères clés de l’histoire du cinéma mais aussi en capturant, grâce à un montage astucieux, divers états de fantasme et d’ironie mordante. Ces éléments se superposent et s’entrelacent pour offrir un miroir

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DVD/BLU-RAY/4K

[DVD/BLU-RAY/VOD] Pearl – Bijou d’horreur passionnelle

Ti West n’a pas chômé. Fétichiste d’une certaine frange du cinéma d’horreur, à laquelle il emprunte la moiteur et l’esthétique granuleuse, le bonhomme a tué l’ennui en lançant la production de Pearl juste après avoir achevé le tournage de son dernier long-métrage, X. Ce qui n’était alors que quelques notes échangées avec la comédienne Mia Goth s’est transformé en un préquel surprise, centré sur le personnage terrifiant et mystérieux de Pearl, la vieille femme qui massacrait les jeunes gens venus squatter sa propriété.

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La rétrospective LARS VON TRIER

[RETROSPECTIVE] Nymphomaniac – Le beau de la provoc’

Lars von Trier s’est fait un nom dans l’industrie en tant que provocateur, un farceur du plus haut calibre. N’ayant jamais eu peur du tabou, Trier a de nouveau titillé notre imagination tordue avec son gros projet, Nymphomaniac. Nymphomaniac suit l’histoire de Joe (Charlotte Gainsbourg), une sexomane autodiagnostiquée. Prévu à l’origine pour être un seul film, le projet a dû être coupé en deux volumes en raison de son extrême longueur ; chaque volume sert cependant à présenter Joe sous

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48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] X – Massacre à la vibromasseuse

L’empreinte du film de Tobe Hooper, Massacre à la tronçonneuse, sur le domaine de l’horreur dépasse toute estimation. Si l’on attribue souvent à Halloween de John Carpenter le lancement du sous-genre du “slasher”, il convient de reconnaître que c’est en réalité le film de Hooper (aux côtés de Black Christmas de Bob Clark, tous deux dévoilés le même jour en 1974) qui a instauré de nombreux codes pérennes. Parmi eux, la caractérisation d’un tueur en série sordide sous les traits

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