Étiquette : Gemma Chan

48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Don’t Worry Darling – Wilde is the disaster artist

À travers les méandres de l’histoire séculaire des États-Unis, le concept du “rêve américain” a émaillé maints discours. Au-delà de sa connotation matérielle axée sur la prospérité, quelle substance revêt-il pour ceux qui y adhèrent ? Une image récurrente s’impose : celle de la paisible maison de banlieue ceinte d’une clôture immaculée, où s’épanouit une famille comblée, enfants rieurs à l’appui. Bien que stéréotypée, cette représentation exerce une influence opérante et obsédante, s’incrustant dans l’imaginaire collectif lorsqu’il s’agit d’envisager la

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Les Éternels – Un récit sériel, tueur de temps

Indubitablement, Les Éternels se dresse comme l’œuvre la plus énigmatique, la plus loquace, et la plus excentrique jamais façonnée au sein du Marvel Cinematic Universe. Ce constat révèle, sans doute, la singularité de cette franchise interconnectée, reconnue pour ses récits populaires parsemés de péripéties qui titillent l’imagination des adeptes de bandes dessinées. S’aventurant sur les chemins tortueux de l’histoire humaine et surhumaine, Les Éternels exige un changement, une métamorphose colossale que même les plus fervents admirateurs pourraient peiner à appréhender

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Raya et le dernier dragon – Un Disney Animation générique qui ne pose pas beaucoup de Susi.

Le principal antagoniste de Raya et le dernier dragon, une nouvelle aventure agréable des Walt Disney Animation Studios, est quelque chose appelé le Druun, un monstre violet hurlant et boueux qui transforme les gens en pierre. C’est un méchant archétypal informel, un cousin éloigné de fléaux surnaturels comme le Nothing de L’Histoire sans fin, mais il porte également une bouffée de métaphore du monde réel. Non, le Druun n’est pas le coronavirus, même s’il laisse dans son sillage des sociétés

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