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Mois : septembre 2023

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETROSPECTIVE] Vanya, 42e rue – L’humain au travers du théâtre

Chaque création tente de trouver son propre chemin narratif, Vanya, 42e rue de Louis Malle se dresse comme un monument à part. Sorti en 1994, il offre une expérience inédite en fusionnant théâtre et cinéma d’une manière jamais vue auparavant. Le réalisateur nous invite à arpenter les rues animées de la Grande Pomme aux côtés des acteurs, pour finalement pénétrer dans un théâtre abandonné où se déroule la répétition de “Oncle Vania” d’Anton Tchekhov. Cependant, au-delà de cette apparente dualité

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] La beauté du geste – Million feelings baby

Encore méconnu en francophonie, le réalisateur japonais Shô Miyake se met au défi de traduire à l’écran la vie de la boxeuse Keiko Ogasawara, première femme japonaise malentendante à obtenir une licence professionnelle dans son sport (et incarnée par l’actrice Yukino Kishii). Si le titre anglais (Small slow, but steady) laisse entendre qu’il s’agit de la version asiatique du film de Clint Eastwood (peignant le portrait d’une boxeuse maladroite mais déterminée), Miyake réussit en réalité à s’en détacher brillamment. Même

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Retribution – L’appel trop connu de Liam Neeson

Il est déconcertant de voir comment des cinéastes moyens comme Nimród Antal semblent tomber dans l’oubli de l’originalité et du génie artistique, et se retrouvent à réaliser des films comme Retribution. Ce thriller, ou du moins ce qui prétend en être un, ne fait que creuser davantage le trou dans lequel la filmographie de Liam Neeson s’enlise déjà. Antal, censé être un artisan du cinéma, n’a réussi qu’à reproduire les schémas convenus des films d’action génériques, faisant preuve d’une créativité

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La rétrospective LOUIS MALLE

[RETROSPECTIVE] Atlantic City -Régénérescence urbaine

Dans les années 1970, Louis Malle tente de s’imposer à Hollywood parmi toute une génération dorée de réalisateurs –auteurs comme Martin Scorsese, Steven Spielberg et Francis Ford Coppola, propulsés dans le grand bain grâce à leurs œuvres ambitieuses. On voulait combiner l’ancien et le nouveau (…). Le personnage de Burt Lancaster (…) représentait le passé et le personnage de Susan Sarandon, qui habitait le même immeuble, représentait ces gens venus de toute l’Amérique, avec leurs rêves… C’est bien évidemment une

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C'est fini, snif