[CRITIQUE] MaXXXine – Le carnaval des illusions
En construisant son œuvre autour de clins d’œil et de références largement reconnues par les cinéphiles avertis, Ti West édifie une œuvre acerbe et résolument cinéphile qui se densifie avec le temps. Avec MaXXXine, il confirme son approche post-moderniste du genre horrifique en s’appuyant non seulement sur des repères clés de l’histoire du cinéma mais aussi en capturant, grâce à un montage astucieux, divers états de fantasme et d’ironie mordante. Ces éléments se superposent et s’entrelacent pour offrir un miroir