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Étiquette : Thriller

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Réminiscence – Amour et souvenirs douloureusement inconfortables

Que vous souhaitiez revivre des moments tendres avec un être cher disparu ou que vous ayez besoin d’aide pour retrouver vos clés de voiture, Nick Bannister, interprété par Hugh Jackman, peut vous aider grâce à une entreprise (gérée avec son amie Emily, jouée par Thandiwe Newton) offrant l’expérience de revivre des souvenirs. Pour la scénariste et réalisatrice Lisa Joy, Réminiscence a beaucoup de points communs avec Westworld (la série populaire de HBO qu’elle a co-créée), qu’il s’agisse de se prendre

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Don’t Breathe 2 – S’attacher à l’indéfendable

Quand Don’t Breathe est sorti en 2016, les spectateurs du monde entier suivaient littéralement le titre en tant qu’enseignement direct, volontairement ou non. La tension tendue et le silence étouffant de l’horreur fantastique de Fede Álvarez (Evil Dead, Millénium : Ce qui ne me tue pas) étaient tels qu’il est difficile de penser à un autre film des années 2010, autre que Sans Un Bruit, qui avait une peur aussi efficace et saisissante construite autour du son et, le plus

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Don’t Breathe (2016) – Home-invasion atypique au centre d’une horreur constante

Le concept d’un thriller home-invasion n’est pas nouveau, de nombreux films ayant tenté (et souvent réussi) de placer le public directement dans ce scénario cauchemardesque et de créer une horreur confinée, tendue et palpitante qui vous tient en haleine. Mais Don’t Breathe reprend ce concept et le renverse en posant la question inverse : et si les envahisseurs n’étaient pas les méchants ? Le résultat est tout aussi terrifiant, et est rehaussé par une mise en scène précise et une

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[CRITIQUE] Sweet Girl – Les gros poings de Jason Momoa

Étant donné la nature violente de la plupart des films d’action (en particulier ceux qui sont alimentés par la vengeance), ils ont tous besoin d’un protagoniste ayant des raisons justifiables de se déchaîner ou de méchants faciles à détester qui méritent de connaître un sort sinistre. Sweet Girl ne possède pas nécessairement l’un de ces facteurs d’investissement. Il y a aussi un rebondissement dans le troisième acte, qui élimine quelque peu tous les éléments douteux concernant les mesures prises pour

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[CRITIQUE] Till Death – Nouvelle et sanglante jeunesse pour Megan Fox

S’inspirant légèrement de Jessie (Gerald’s Game) et de You’re Next, avec même un peu de Saw, Till Death révèle très tôt son idée maîtresse : Emma (Megan Fox) trompe son mari (Eoin Macken). Elle est consciente que c’est techniquement mal et dit à son collègue (Aml Ameen) qu’elle en a fini (cet échange semble presque inutile, qu’elle veuille en finir ou non n’enlève rien à son caractère sympathique et rendrait même l’histoire légèrement plus complexe si elle n’avait pas l’intention

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[CRITIQUE] Beckett – Thriller paranoïaque alambiqué en pleine crise Grecque

Les dix premières minutes de Beckett contiennent un certain nombre de scènes étranges et d’échanges de dialogues qui donnent l’impression qu’ils pourraient servir d’indices dans la grande conspiration grecque qui se dessine. On y voit le personnage éponyme de Beckett (interprété par John David Washington, qui joue le rôle comme s’il était coincé à l’intérieur d’une variante de Tenet) et sa compagne April (Alicia Vikander, qui essaie de tirer le meilleur parti d’un temps d’écran limité dans l’un des rôles

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[CRITIQUE] Escape Game 2 : Le monde est un piège – Suite à l’excès mortel

Le film d’horreur de 2019, Escape Game, a été une (mini-)surprise. Le concept d’une salle d’évasion mortelle est évident, mais le film du réalisateur Adam Robitel a apporté de l’innovation et du spectacle à l’idée, ainsi qu’un groupe de personnages véritablement sympathiques plutôt que de la chair à canon oubliable. Une suite a immédiatement été lancée, avec un sentiment d’inévitabilité étant donné le potentiel évident de la franchise et l’orientation évidente fournie par la fin du premier film. Mais là

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46ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2020)

[CRITIQUE] Rouge – Dark Waters à la française

Le modeste homologue français d’Erin Brockovich et du récent Dark Waters de Todd Haynes, Rouge oppose une fois de plus un intrépide interlope aux forces cupides des entreprises et à une tragédie écologique imminente. L’accroche, cette fois-ci, réside dans le fait que cet intrus, incarné par la talentueuse Zita Hanrot (La Vie scolaire), se trouve en lutte trop proche de son propre foyer, son père étant un vétéran de l’usine qui souille dramatiquement sa région. Deuxième long-métrage du comédien reconverti

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[CRITIQUE] Ice Road – Comment couler sous la glace sans avancer ?

Pour tous ceux qui en ont assez de voir Liam Neeson ramasser des armes, tuer des criminels, sauver des membres de sa famille ou arrêter des terroristes (parfois une combinaison des trois dans un même film), une chose positive à dire sur Ice Road est qu’il s’agit d’une façon rafraîchissante de donner à la star d’action senior quelque chose dans sa fin de carrière qui est à la fois similaire et différente. Mais, malheureusement, c’est aussi là que s’arrête tout

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[CRITIQUE] American Nightmare 5 : Sans limites – La purge atteint ses limites, ils le savent, ils continuent

American Nightmare a commencé comme une franchise avec un concept intriguant qui s’est épuisé si vite que, honnêtement, je ne peux même pas vous dire combien il y en a, ce que je fais habituellement assez bien de mémoire. Ce n’est pas tant qu’il s’agit du même film à chaque fois, mais plutôt qu’ils se ressemblent et se sentent semblables, tout en échangeant des types de personnages différents (les politiciens dans American Nightmare 3 : Élections, par exemple) pour certains

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C'est fini, snif