[CRITIQUE] Kokon – La liberté a des ailes
Un des plus grands plaisirs cinématographiques est de lancer un film sans savoir exactement à quoi s’attendre et de finalement passer un très agréable moment. Pour ce deuxième long-métrage, Leonie Krippendorff signe un coming-of-age movie sans prétention, traitant de son sujet sous la chaleur de l’été berlinois. Si, il en convient, la métaphore de la chenille au papillon n’est pas très subtile, Kokon dégage une atmosphère douce et réconfortante qui plaira aux amateur.rices de films estivaux. Nora, jeune fille timide