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Étiquette : Hafsia Herzi

ACTUALITÉ CINÉMA - EN SALLES, (S)VOD, etc..

[CRITIQUE] Les gens d’à côté – On s’en fiche S

Lucie (Isabelle Huppert) travaille pour la police scientifique lorsque deux événements perturbent sa vie. D’abord, le suicide de son mari, également policier, partiellement causé par la pression de sa hiérarchie. Ensuite, l’arrivée de nouveaux voisins : une famille composée d’un couple et de leur petite fille. Elle s’attache rapidement à ce foyer, passant de plus en plus de moments en compagnie de la mère, interprétée par Hafsia Herzi, et du père, incarné par Nahuel Perez Biscayart, pour combler sa solitude. Elle découvre alors que son voisin est un militant anti-police au passé marqué par des actions contestataires. Le nouveau long-métrage d’André Téchiné plonge dans le dilemme moral de Lucie, tiraillée entre son affection pour cette famille et les exigences de ses collègues policiers.

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Borgo – La Belle et la Meute

Entre le hall et la sortie de l’aéroport, sous l’œil scrutateur des caméras de surveillance, deux hommes sont impitoyablement abattus au vu et au su de tous. Une enquête s’amorce pour démasquer le coupable, mais au sein du commissariat, deux écoles se dessinent : le brigadier (Pablo Pauly), acharné et désarmé dans sa quête d’une infime piste au sein de ce dédale de pixels ; le commissaire (Michel Fau), rompu à ces situations probablement par ses expériences en Corse, qui

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Ravissement – Solitude décomposée

Le premier long-métrage de la réalisatrice et scénariste Iris Kaltenbäck, Le Ravissement (à ne pas confondre avec le dernier Bellocchio), débute de manière assez banale, comportant tous les défauts que l’on est en droit d’attendre d’une première tentative. On y retrouve un synopsis maintes fois vu, traitant des conséquences d’un mensonge, ainsi qu’une voix-off omniprésente qui, en tentant de sur-expliquer, finit par compromettre chaque instant de potentiel suspense. Pourtant, au fur et à mesure que les mois s’écoulent depuis sa

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ANALYSE

[ANALYSE] L’Apollonide : souvenirs de la maison close – Écrin absolu

Après des premiers films qui se concentrent sur des personnages masculins, Bertrand Bonello souhaite changer d’horizon. De cette envie nait son cinquième film, L’Apollonide : Souvenirs de la maison close. Au crépuscule du XXᵉ siècle, à Paris, on suit les prostituées de l’Apollonide. L’une d’entre elles, Madeleine (Alice Barnole), rêve régulièrement d’un client qui la demande en mariage. C’est dans la maison close, qui doit son nom à la maison d’enfance de Bertrand Bonello, que se déroule la majorité de

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