
Mission : Impossible – The Final Reckoning | L’écran de fumée
Critique | Mission : Impossible – The Final Reckoning de Christopher McQuarrie | 2h50 | Par William Carlier
Critique | Mission : Impossible – The Final Reckoning de Christopher McQuarrie | 2h50 | Par William Carlier
Analyse / Regard comparé | Jugement à Nuremberg de Stanley Kramer & Black Book de Paul Verhoeven | Par William Carlier
Critique | La Chambre d’à côté de Pedro Almodóvar | 1h50 | Par William Carlier
Critique | Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau de Gints Zilbalodis, 2024 | Par William Carlier |
Critique | Phenomena de Dario Argento, 1985 | 1h57 | Par William Carlier |
Dans La Ruée vers l’or, Charlot part en quête de fortune sous la neige. Désaxé, il fait face au froid, aux immenses plaines et à lui-même. L’humour slapstick, que l’on pourrait définir par l’exagération drolatique de la violence, repose sur des gags visuels au service d’une intrigue sommaire. Charlie Chaplin, Buster Keaton et Harold Lloyd ont œuvré à faire connaître ce registre auprès du grand public. Hundreds of Beavers, signé Mike Cheslik, s’inscrit dans la lignée de cet exemple. On
Retour sur | L’Obsédé de William Wyler | 1h59 | Par William Carlier
Un tueur en série est pris au piège par la police dans une salle de concert où se retrouvent 20 000 personnes ; il n’y a pas d’issue possible. Ce pitch était prometteur, surtout quand on connaît le talent de M. Night Shyamalan pour développer des concepts simples en leur offrant une ampleur philosophique et sociale. La paternité est un sujet longuement exploré à travers sa filmographie, passant du fils sans père (Sixième Sens) aux devoirs de celui endeuillé par
Un tournage improvisé ou presque, et des bavardages entre trois professionnels du cinéma. Peu de surprises dans In Water, qui voit Hong Sang-soo en terrain familier, profitant de la simplicité ostensible du récit pour expérimenter une forme atypique. Contre les critiques trouvant tous les qualificatifs possibles pour diminuer l’ambition vers laquelle il se projette, rappelons qu’il est un cinéaste très amateur de peinture. Cet affect se trouve sur la plupart de ses films, mais davantage dans cette proposition où le
Récemment, il a été confirmé que le studio Pixar développerait de multiples suites aux grands succès de leurs franchises de l’âge d’or. Si Vice-Versa 2 est un prolongement direct du premier film, il convient de s’interroger sur la pertinence de poursuivre ce concept. Après tout, les péripéties des cinq émotions principales abordaient déjà des sujets tels que la dépression et les difficultés de la croissance, des thèmes longuement évoqués dans Toy Story et explorés avec brio dans Vice-Versa. Désormais, Riley