[CRITIQUE] Un Coup de Maître – Satire à pinceaux réels
Rémi Bezançon se démarque comme un artisan, sculptant des récits autour de personnages en quête d’identité et de sens dans un monde en perpétuelle mutation. Un Coup de Maître, sa septième réalisation, ne fait pas exception, plongeant dans le trouble de l’amitié complexe et de l’industrie artistique. Tissant un canevas de liens et de conflits entre Arthur Forestier et Renzo Nervi, le réalisateur emmène les spectateurs dans une rhapsodie de rires, de critiques sociales, et de questionnements existentiels. LE DUO