AUJOURD'HUI, LE CINÉMA
[CRITIQUE] Astrakan – L’accumulation du misérable
Astrakan m’a fait poser beaucoup de questions intéressantes : où se termine la limite entre une chronique et un récit, comment les diverses parties individuelles s’accumulent-elles pour former une seule image finale, et quelle est la limite entre la représentation de quelque chose d’horrible et le fait que les gens de l’histoire soient réellement en situation ? En bref, je me suis posé beaucoup de questions car je n’ai jamais été investi dans l’histoire, qui va de la lenteur à