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Étiquette : Thriller

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Un homme en colère – Braquage, vengeance et tatane à Los Angeles

Quand il s’agit de stars de l’action, Jason Statham a tout simplement « ça ». Je ne peux pas définir clairement ce qu’est ce « truc », mais vous le savez quand vous le voyez. C’est un mélange sain de charisme, de cran et de physicalité. Depuis que Statham a percé dans le rôle principal du film Le Transporteur en 2002, il a montré à maintes reprises que son image d’anti-héros est plus que suffisante pour porter un film d’action. De plus, il apporte

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[CRITIQUE] Sans Un Bruit 2 – La Guerre des Silences

Sans un bruit a démontré que même les concepts les plus familiers peuvent être métamorphosés en un film d’horreur efficace. Le scénariste, réalisateur et acteur John Krasinski a dépouillé le film de créatures jusqu’à sa quintessence, évoquant l’esprit de Steven Spielberg en se focalisant sur la détresse intime d’une famille tentant de survivre à une invasion apocalyptique, chargée d’une intense émotion, bien que parfois atténuée par une musique envahissante aux moments inopportuns. Krasinski a déployé des techniques de frayeur raffinées et une utilisation inventive du son pour créer un film d’horreur tendu, captivant le public. Le film, bien conçu, offrait une histoire tendue et autonome, suffisante pour se suffire à elle-même. Pourtant, Krasinski démontre à nouveau son talent pour raconter des histoires dynamiques, et Sans un bruit 2 s’appuie sur le premier film de manière surprenante, intime et sophistiquée.

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[CRITIQUE] L’Un des nôtres – Super Western

Pour nombre d’entre nous, la cellule familiale s’impose comme un pilier indéfectible de nos existences. Ainsi que l’exprima un illustre écrivain français, André Maurois, « Privé de famille, l’homme, esseulé, grelotte dans le monde ». Les liens familiaux initient souvent nos premières amitiés, nous assurant un soutien inébranlable tout au long de notre parcours terrestre, au gré des vicissitudes et des tourments. Famille, doux havre où chutes et élans trouvent écho, guide vers une quiétude et une prospérité tandis que nous arpentons

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[CRITIQUE] Conjuring : Sous l’emprise du diable – N’est pas James Wan qui veut..

L’affaire « Devil Made Me Do It« , qui donne son nom au troisième volet de la franchise The Conjuring, représente un moment marquant de l’histoire judiciaire américaine. Le 16 février 1981, à Brookfield, dans le Connecticut, Arne Cheyenne Johnson (prétendument sous l’emprise d’un démon qu’il avait invité dans son corps pour libérer David Glatzel, 11 ans, et sa famille) a tragiquement assassiné le propriétaire de son logement, Alan Bono, dans une attaque frénétique au couteau. Retrouvé à trois kilomètres de la

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[CRITIQUE] The Amusement Park – Cette vieille pellicule cachait un terrible secret

Une journée en apparence banale au sein d’un parc d’attractions se métamorphose en un cauchemar insidieux pour un homme d’âge avancé. Même après sa disparition, George A. Romero parvient toujours à délivrer davantage de messages en un seul film que la plupart de ses pairs au cours de leur carrière entière. De La Nuit des morts-vivants à Incidents de parcours, le réalisateur a toujours aspiré à susciter la réflexion chez ses spectateurs tout en les divertissant. Son ultime création, The

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[CRITIQUE] Nobody – Bob Odenkirk se prépare-t-il pour affronter Keanu Reeves ?

Hutch Mansell est un père et un mari sous-estimé voire négligé, prenant les indignités de la vie sur le menton et ne repoussant jamais personne. Lorsque deux voleurs pénètrent dans sa maison de banlieue une nuit, Hutch refuse de se défendre ou de défendre sa famille, dans l’espoir d’éviter de graves violences. Son fils adolescent Blake est déçu de lui, et sa femme Becca semble s’éloigner encore plus. Les conséquences de l’incident correspondent à la longue rage de Hutch, déclenchant

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[CRITIQUE] Voyagers – Neil Burger dans toute sa splendeur Sci-fi debilo-ado

Tout ce qui est vieux est finalement nouveau, et le drame de science-fiction fatigant Voyagers n’offre rien de plus que ce cliché. Le cinéaste Neil Burger, qui a réalisé la première adaptation de Veronica Roth, Divergente, revient dans le monde de jeunes adultes avec Voyagers, à ne pas confondre avec Passengers, un autre film de science-fiction où un personnage masculin manipule une femme piégée dans un vaisseau spatial avec lui. Voyagers a la même configuration que tant de films spatiaux,

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[CRITIQUE] Le Bal des 41 – Un enfant du cinéma de Fassbinder

Quand Amada (Mabel Cadena) fait savoir à son nouveau mari qu’elle ne sait pas jouer du piano (mais a-t-il déjà connu une femme capable de nettoyer, charger et tirer un fusil ?), le message ne pouvait pas être plus évident. Elle doit l’étendre parce que son mari semble incroyablement timide. Elle se déshabille devant lui, mais il choisit maintenant de faire une faveur à son père. C’est le genre de danse qu’ils font. Un jeu politique sans fin, et personne

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[CRITIQUE] La Femme à la fenêtre – Melting-pot de flatteries

Le film de Joe Wright La Femme à la fenêtre doit beaucoup à presque tous les films d’Alfred Hitchcock jamais réalisés, en particulier dans leur ton, leurs visuels et leur humeur. Encore une fois, vous ne pouvez pas blâmer Wright parce que le matériel source par A.J. Finn est une arnaque directe de ces films. L’un étant Fenêtre sur cour, et l’autre, dans une moindre mesure, Psychose. Il faut se demander si le film et les créateurs ont payé pour

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[CRITIQUE] Oxygène – Aja et Netflix, un duo surprenamment solide

Oxygen est le prochain film du réalisateur français Alexandre Aja. Vous vous souviendrez peut-être de son dernier film Crawl, un thriller étonnamment divertissant au sujet d’un père et d’une fille pris au piège dans leur maison inondée d’alligators tueurs pendant un ouragan de catégorie 5. J’admets que sur papier, cela semblait ridicule, mais ceci montrait en fait qu’Aja était un cinéaste rusé capable de capturer des actions déchirantes, serrées et de créer une tension authentique. Je suis entré dans Crawl

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C'est fini, snif