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Étiquette : Thriller

47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Kate – atomic Winstead

Dans le registre de l’action, un éventail de productions cinématographiques se dessine, mettant en scène des protagonistes évoluant, notamment, en tant qu’assassins en activité ou à la retraite, investis d’une mission qu’ils s’engagent à mener à bien pour diverses raisons. Dans Kate, les réalisateurs ont habilement subverti ce schéma en insufflant à l’intrigue l’urgence d’une échéance imminente : le personnage central, confronté à une fatalité inéluctable, n’a qu’une journée pour accomplir son dessein, rappelant le récent 24h Limit avec Ethan

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Boite Noire – Ça encaisse !

Boîte Noire nous plonge avec une intensité captivante dans les arcanes de l’analyse des enregistrements de vol. Tel un énigmatique puzzle émanant tout droit du Da Vinci Code, ce thriller aérien, solidement ancré dans la réalité, ne ménage aucun effort pour dévoiler les vérités dissimulées derrière les accusations, les conspirations corporatives, révélant jusqu’où certains sont prêts à aller pour dissimuler ou exhumer la vérité. Lorsqu’un avion flambant neuf, reliant Dubaï à Paris, se précipite vers un destin funeste, Mathieu (interprété

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] La Proie d’une ombre – Frissons de deuil

Rebecca Hall incarne une veuve dans La Proie d’une ombre, un film à suspense réalisé par David Bruckner, présenté en compétition au 47e Festival du Cinéma Américain de Deauville. Dès le début, le film se distingue par son caractère atypique et, par conséquent, imprévisible. L’intrigue débute avec une confrontation entre une mère et l’enseignante, qui réclame justice pour la mauvaise note attribuée à son fils. Ce premier échange souligne l’importance des circonstances imprévues dans la vie personnelle de chacun, une

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47ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2021)

[CRITIQUE] Oslo – Un regard sur un conflit du monde

Il n’y a guère eu de moment plus opportun pour la sortie d’un film tel qu’Oslo, qui a eu l’honneur de sa première lors de la 47e édition du Festival du Cinéma Américain de Deauville. Ce film scrute le conflit israélo-palestinien, un différend de longue date, à travers le prisme des accords de paix signés en 1993, avec l’appui d’un couple norvégien et de leur gouvernement. Adapté de la pièce éponyme du dramaturge américain JT Rogers, sous la direction de

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[CRITIQUE] Réminiscence – Amour et souvenirs douloureusement inconfortables

Que vous souhaitiez revivre des moments tendres avec un être cher disparu ou que vous ayez besoin d’aide pour retrouver vos clés de voiture, Nick Bannister, interprété par Hugh Jackman, peut vous aider grâce à une entreprise (gérée avec son amie Emily, jouée par Thandiwe Newton) offrant l’expérience de revivre des souvenirs. Pour la scénariste et réalisatrice Lisa Joy, Réminiscence a beaucoup de points communs avec Westworld (la série populaire de HBO qu’elle a co-créée), qu’il s’agisse de se prendre

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[CRITIQUE] Don’t Breathe 2 – S’attacher à l’indéfendable

Quand Don’t Breathe est sorti en 2016, les spectateurs du monde entier suivaient littéralement le titre en tant qu’enseignement direct, volontairement ou non. La tension tendue et le silence étouffant de l’horreur fantastique de Fede Álvarez (Evil Dead, Millénium : Ce qui ne me tue pas) étaient tels qu’il est difficile de penser à un autre film des années 2010, autre que Sans Un Bruit, qui avait une peur aussi efficace et saisissante construite autour du son et, le plus

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Don’t Breathe (2016) – Home-invasion atypique au centre d’une horreur constante

Le concept d’un thriller home-invasion n’est pas nouveau, de nombreux films ayant tenté (et souvent réussi) de placer le public directement dans ce scénario cauchemardesque et de créer une horreur confinée, tendue et palpitante qui vous tient en haleine. Mais Don’t Breathe reprend ce concept et le renverse en posant la question inverse : et si les envahisseurs n’étaient pas les méchants ? Le résultat est tout aussi terrifiant, et est rehaussé par une mise en scène précise et une

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[CRITIQUE] Sweet Girl – Les gros poings de Jason Momoa

Étant donné la nature violente de la plupart des films d’action (en particulier ceux qui sont alimentés par la vengeance), ils ont tous besoin d’un protagoniste ayant des raisons justifiables de se déchaîner ou de méchants faciles à détester qui méritent de connaître un sort sinistre. Sweet Girl ne possède pas nécessairement l’un de ces facteurs d’investissement. Il y a aussi un rebondissement dans le troisième acte, qui élimine quelque peu tous les éléments douteux concernant les mesures prises pour

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[CRITIQUE] Till Death – Nouvelle et sanglante jeunesse pour Megan Fox

S’inspirant légèrement de Jessie (Gerald’s Game) et de You’re Next, avec même un peu de Saw, Till Death révèle très tôt son idée maîtresse : Emma (Megan Fox) trompe son mari (Eoin Macken). Elle est consciente que c’est techniquement mal et dit à son collègue (Aml Ameen) qu’elle en a fini (cet échange semble presque inutile, qu’elle veuille en finir ou non n’enlève rien à son caractère sympathique et rendrait même l’histoire légèrement plus complexe si elle n’avait pas l’intention

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[CRITIQUE] Beckett – Thriller paranoïaque alambiqué en pleine crise Grecque

Les dix premières minutes de Beckett contiennent un certain nombre de scènes étranges et d’échanges de dialogues qui donnent l’impression qu’ils pourraient servir d’indices dans la grande conspiration grecque qui se dessine. On y voit le personnage éponyme de Beckett (interprété par John David Washington, qui joue le rôle comme s’il était coincé à l’intérieur d’une variante de Tenet) et sa compagne April (Alicia Vikander, qui essaie de tirer le meilleur parti d’un temps d’écran limité dans l’un des rôles

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C'est fini, snif