Étiquette : Matthew Goode

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] The King’s Man : Première mission – Retour aux sources

En 2015, Matthew Vaughn nous a offert l’un des films d’action les plus divertissants des années 2010 avec Kingsman : Le Service secret. Après avoir réalisé sa suite (horrible !) en 2017 (Kingsman : Le Cercle d’or), il revient une nouvelle fois pour réaliser et coécrire une préquelle, The King’s Man : Première mission. Cette fois, nous nous trouvons au début du XXe siècle, avant que la Première Guerre mondiale n’éclate. Après que le moine vénéré Grigori Raspoutine (Rhys Ifans,

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[CRITIQUE] Joyeuse fin du monde – Un joli cadeau de Noël

Le moyen le plus simple de s’assurer que vos petits comédiens sont capables de jurer à l’écran est de faire un casting avec les vôtres. C’est exactement ce que fait la scénariste et réalisatrice Camille Griffin pour son Joyeuse fin du monde, et ce pour une bonne raison. Art (Roman Griffin Davis) et les jumeaux Thomas (Gilby Griffin Davis) et Hardy (Hardy Griffin Davis) ont fait un pacte avec leurs parents (Nell de Keira Knightley et Simon de Matthew Goode)

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[CRITIQUE] The Duke – En cœur et en charme

Dernier long métrage du célèbre cinéaste britannique Roger Michell, The Duke offre une parenthèse appropriée à la carrière d’une force sous-estimée du cinéma britannique. Avec les vétérans Jim Broadbent et Helen Mirren, The Duke raconte l’histoire vraie de Kempton Bunyon (Broadbent), un retraité politiquement actif et un excentrique charmant qui se retrouve en procès pour avoir volé le portrait du duc de Wellington par Francisco de Goya. Sa femme Dorothy (Mirren), toujours exaspérée, et son fils Jackie (Fionn Whitehead) sont

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[RETOUR SUR..] Watchmen – le gardien de l’inadaptable

Watchmen, cette série limitée de bandes dessinées, acclamée par la critique, du tandem créatif composé de l’écrivain Alan Moore et de l’artiste Dave Gibbons, m’a toujours davantage impressionné qu’elle ne m’a captivé. Toutefois, l’empreinte qu’elle a laissée sur l’industrie demeure indéniable. Narrée sur douze numéros parus de septembre 1986 à octobre 1987, Watchmen représente une trame sociopolitique complexe que le réalisateur Terry Gilliam avait autrefois qualifiée d’« inadaptable ». Malgré cela, plusieurs studios tels que la 20th Century Fox, Universal,

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