Étiquette : Louis Garrel

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Les Trois Mousquetaires : Milady – Épées et disparités

En début d’année, le premier volet du diptyque d’aventure Les Trois Mousquetaires a été dévoilé, réunissant un casting trois étoiles avec François Civil, Vincent Cassel, Pio Marmaï, Romain Duris et Eva Green. Il se concentre sur le personnage de D’Artagnan, offrant un récit riche en enjeux et porteur d’une certaine ambition. Sous la direction de Martin Bourboulon, ce projet s’inscrit dans une volonté de proposer du grand spectacle d’époque “à la française”, à l’instar d’autres productions marquantes des années 2000

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[CRITIQUE] Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan – Une ambition respectée

Le célèbre roman d’Alexandre Dumas connaît encore une adaptation au cinéma mais avec cette fois-ci un retour en force français avec un gros casting au rendez-vous. L’on retrouve donc François Civil, Pio Marmaï, Romain Duris et Vincent Cassel en quatuor dans leurs rôles respectifs des mousquetaires, mais aussi Eva Green en Milady. Ici, ce film réalisé par Martin Bourboulon, est présenté comme la première partie d’une saga partagée en deux où la seconde partie sera consacrée au personnage de Milady,

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[CRITIQUE] L’Innocent – Braquage à la Française

4ème long-métrage pour Louis Garrel en tant que réalisateur, notamment après L’Homme Fidèle et La Croisade. L’Innocent raconte l’histoire d’Abel, pris d’angoisse après le mariage de sa mère avec un homme en prison. Avec sa meilleure amie Clémence, il va tout faire pour la protéger. Un film nettement plus ambitieux que ses précédents, sans oublier la légèreté de ton et l’humour qu’on lui connaît.  Louis Garrel, toujours empreint d’un brillant sens du rythme pour les dialogues, est bien épaulé par

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[CRITIQUE] Rifkin’s Festival – Pédant Society 

Wallace Shawn, qui s’est illustré dans le chef-d’œuvre de Louis Malle, My Dinner With Andre (1981), tient le premier rôle dans Rifkin’s Festival de Woody Allen, une comédie où l’on trouve des éléments propices à la confession et de demandes personnelles. En comparaison avec les œuvres récentes d’Allen, je dois admettre que celle-ci présente quelque chose de plus pour la tirer légèrement au-dessus de la moyenne. Mais cela ne veut pas dire qu’elle est exempte de clichés. L’histoire se déroule

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[CRITIQUE] L’Histoire de ma femme – Taquine possession romanesque

Après le triomphe retentissant de Corps et Âme, un film dont la tendresse stoïque et l’intimité tangible ont fait figure d’exception parmi les récents lauréats de l’Ours d’or, Ildikó Enyedi revient à la réalisation avec son adaptation tant attendue du roman de guerre de Milán Füst, qui raconte l’histoire d’un certain capitaine Jakob Störr, commandant néerlandais d’un cargo qui soupçonne sa femme d’infidélité. Pas moins personnel, énigmatique ou émouvant que les œuvres précédentes du réalisateur, L’Histoire de ma femme s’inscrit

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46ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2020)

[CRITIQUE] ADN – Iden Qui t’es ?

Le film de Maïwenn se distingue par un travail empreint de quiétude et de contemplation, explorant la manière dont le pouvoir de la perte douloureuse peut éclairer l’amour et nos origines. Il ne se contente pas de briser les mythes ou les conventions cinématographiques, mais offre également une rare représentation de familles qui chérissent et respectent leurs aînés, une rareté dans le paysage cinématographique américain. À travers cet événement, l’affection tendre envers un grand-parent et la perte de cette affection,

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