Étiquette : Horreur

CQLC 1975

[RETOUR SUR..] The Rocky Horror Pictures Show – La question des Midnight Movies (en 1975)

Chaque année au cinéma, de nombreux films géniaux et fantastiques sortent et surprennent les spectateurs. La rédaction de « C’est quoi le cinéma » décrypte chaque semaine, pour vous, les sorties cinéma et VOD, mais nous avons décidé pour cette série d’articles spéciaux de retourner en 1975 et de vous faire un focus des films sortis cette année-là et qui méritent votre regard. Ces films ont été sélectionnés pour leurs qualités ou leur importance culturelle, au sein de l’année 1975 et même

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Scream (2022) – Coupez !

Pour Wes Craven. Une des premières phrases de ce nouveau Scream est « C’est encore Wes qui t’appelle ? ». Mais cette fois le jeu a changé, plus de Wes Craven pour diriger ce nouveau volet de la saga horrifique. À la place du maître de l’horreur, on trouve un duo de réalisateurs composé de Tyler Gilett et Matt Betinelli-Olpin. Et avant même la sortie du film, j’avais trouvé cela très rassurant, tant le duo sait parfaitement travailler ensemble sur

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Prisoners Of The Ghostland – Le prisonnier du script invisible

Le film Prisoners Of The Ghostland avec Nicolas Cage est un film excessif. Réalisé par Sion Sono, un réalisateur japonais primé, connu pour son caractère subversif et idiosyncrasique, le film est une fable représentative hautement stylisée qui mélange allègrement et de façon délirante les genres, les thèmes et les images pour créer une expérience unique (bien que parfois bizarre). L’intrigue est d’une simplicité trompeuse, mais l’histoire est racontée à travers un assortiment si perturbant de visuels et d’événements qu’elle en

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Calendrier – Vive le vent d’hiver

Les calendriers de l’Avent existent depuis longtemps, au moins depuis le milieu du XIXe siècle, lorsque les Allemands marquaient les portes à la craie et allumaient des bougies pour marquer le début de la période de l’Avent de quatre semaines. C’est une tradition, pure et simple. Certains étaient en papier, d’autres étaient des créations élaborées avec des portes contenant des chocolats, des versets bibliques ou d’autres petits cadeaux pour chaque jour du calendrier. Essentiellement, un candidat de choix pour l’horreur.

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City – Une saga qui change de père

Il convient de reconnaître, bien que cela puisse sembler être une acclamation par la voie détournée, que le principal mérite de Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City réside dans son distingué éloignement des métrages de Paul W.S. Anderson. Après avoir enduré ces précédents films d’une qualité déplorable, l’on ne pouvait qu’éprouver une certaine appréhension à l’idée de se plonger à nouveau dans l’univers de Resident Evil. Certains de ces opus cinématographiques se hissent légitimement parmi les pires productions des

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[CRITIQUE] Oranges sanguines – méchant comme un 49:3

Avec Oranges sanguines, l’artiste Jean-Christophe Meurisse poursuit sa trajectoire amorcée avec la comédie Apnée en 2016, plongeant cette fois dans une exploration plus troublante de la France contemporaine. Techniquement une comédie sociale, l’œuvre prend un tournant vers l’horreur, tissant un étrange enchevêtrement de personnages, de scénarios et d’idées conceptuelles. Meurisse, surtout reconnu pour son œuvre théâtrale, s’impose ainsi comme le prochain réalisateur français de renom. Le récit suit un groupe de protagonistes dont les destins s’entremêlent autour d’un concours de

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Affamés – L’Horreur de l’homme

Affamés (Antlers) marque l’union de deux cinéastes importants de ces dernières années : Scott Cooper (Hostiles) à la réalisation est épaulé par Guillermo Del Toro (que l’on retrouvera très bientôt avec Nightmare Alley) à la production pour un film d’horreur fantastique adapté de la nouvelle The Quiet Boy de Nick Antosca. À Cispus Falls en Oregon, un jeune garçon taciturne (Jeremy T. Thomas) va éveiller la curiosité de son institutrice (Keri Russell) alors qu’il semble lié à de mystérieux événements

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ANALYSE

[ANALYSE] Chromosome 3 – Être la mère d’enfant(s) monstre(s)

Frissons et Rage ont placé le réalisateur canadien David Cronenberg à l’avant-garde de l’horreur psychosexuelle corporelle, et Chromosome 3 couronne avec brio son œuvre des années 1970. Dans la vision unique de Cronenberg, la chair humaine est elle-même monstrueuse, capable de muter, de se détacher, de glisser et de détruire son géniteur. Ses films de cette décennie s’enfoncent profondément dans le système reproductif humain et dans les pulsions qui l’animent, pour en ressortir trempés de sang et tout à fait

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[CRITIQUE] Last Night in Soho – Précieuse nuit

Après The Sparks Brothers, Edgar Wright revient en cette fin d’année avec son très attendu et mystérieux Last Night in Soho. Eloise (Thomasin McKenzie), passionnée de mode, voit dans la nuit réapparaitre le Londres des années 60 dans lequel elle rencontre Sandie (Anya Taylor‑Joy), une jeune chanteuse qui tente de trouver sa place dans cette ville aussi séduisante que cruelle. Un projet de longue date pour son auteur et un film très ambitieux qui se démarque par beaucoup d’aspect de

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ANALYSE

[ANALYSE] Dr Jekyll et Sister Hyde – Monstres Trans/homophobes ?

Dr Jekyll et Sister Hyde est la troisième adaptation du roman classique de Robert Louis Stevenson, L’Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde, adapté à l’écran à cette occasion par le légendaire scénariste Brian Clemens, qui a conçu des séries comme Chapeau melon et bottes de cuir et le classique des années 1970 Les Professionnels. Ralph Bates (que l’on retrouve également dans Les Horreurs de Frankenstein) joue le rôle du Dr Henry Jekyll, un talentueux praticien de la

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C'est fini, snif