[CRITIQUE] La vie devant soi – Retranscription d’une relation qui fait du bien
Sur le papier, La vie devant soi ressemble à de la bouillie sentimentale : un enfant immigré orphelin est sauvé d’une vie compliquée par une survivante de l’Holocauste et ancienne prostituée. Avec un formidable couple étrange au centre et la direction alternativement lisse et sensible de Ponti, le long-métrage parvient à faire valoir sa configuration galvaudée, en temps réel. Synopsis : Dans les profondeurs de l’Italie, La vie devant soi raconte l’histoire d’un jeune garçon du nom de Momo (joué