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Étiquette : Drame

LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Cha Cha Real Smooth – Injection de bonté

Écrit, réalisé et co-monté par Cooper Raiff, Cha Cha Real Smooth suit Andrew (Raiff), 22 ans, qui n’a aucune perspective d’avenir solide après avoir obtenu son diplôme universitaire. Il est coincé à la maison avec sa mère (Leslie Mann), son beau-père Greg (Brad Garrett) et son demi-frère David (Evan Assante). N’ayant pas de véritable emploi, il se contente d’animer les fêtes de bar-mitsvah après avoir fait fureur auprès des mamans juives. C’est dans une de ces fêtes qu’il rencontre Domino

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ANALYSE

[ANALYSE] Basic Instinct – Quand Verhoeven réécrivait le film noir

C’est en 1992 que le public a découvert pour la première fois sur grand écran Basic Instinct, un film ô combien important dans la filmographie de son réalisateur, Paul Verhoeven, mais également dans l’histoire du thriller érotique. Celui-ci est considéré comme le porte-drapeau de toute une génération de films du même genre des années 1990 qui lui ont succédé. Sujet à la controverse dès sa sortie, le film nous plonge dans une enquête policière menée par l’inspecteur de police Nick

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[CRITIQUE] El buen patrón – Le surprenant petit jeu pour être un bon patron

Le grand esprit d’observation dont fait preuve le scénariste et réalisateur espagnol Fernando León de Aranoa (plus connu pour la sympathique comédie dramatique sur la classe ouvrière, Les Lundis au soleil, en 2002) s’exprime pleinement dans El buen patrón, une comédie intemporelle et mordante dont Javier Bardem est le pivot. Ce film, caricature amusante des prétendues valeurs de l’entreprise et de leur comportement politiquement incorrect, marque la troisième collaboration entre l’acteur et le réalisateur. Leur dernière œuvre commune remonte à

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[CRITIQUE] Je tremble, ô Matador – Résistance par amour

Si le Nouveau cinéma chilien (ou cinéma chilien de la démocratie) a donné naissance à un grand nombre de réalisateurs en herbe, le visage le plus marquant des films de la dernière décennie est celui d’Alfredo Castro, principalement grâce à son apparition constante dans les œuvres de Pablo Larrain. Mais Castro a été la tête d’affiche de toute une série de films latino-américains provenant de différents pays, dont plusieurs films queer remarquables. Le deuxième long métrage du Chilien Rodrigo Sepulveda,

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Le Prince – Une véritable histoire d’amour

La conservatrice Monika (Ursula Strauss) vient d’inaugurer avec beaucoup de compétence une exposition, mais elle a appris que son patron Peter (Alex Brendemühl) changeait de poste et que le sien devenait précaire, se trouve maintenant dans l’arrière-cour d’un bar africain et s’apprête à fumer quand le bruit se fait entendre à l’intérieur, quand la porte s’ouvre, quand un homme sort en catastrophe, regarde rapidement autour de lui, la pousse près des poubelles et lui conseille de se baisser comme lui

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[CRITIQUE] Men – Wild Rose

Chute d’un corps, un cri, un hurlement. Le sien, les larmes coulent mais rien n’efface les blessures. Pas de son, seul l’effondrement, sourd et brut. Du sang, de nouveau des larmes. Fermer les yeux et recommencer. Se ressourcer, ailleurs, loin de la ville morne et sanglante. La nature, tout autour d’elle, resplendissante et rayonnante. Tranquillité, silence et repos demeurent en ces lieux. Harper sourit, pour la première fois depuis longtemps. S’installer, rebondir, apprendre à vivre de nouveau. La maison, ancienne,

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[CRITIQUE] Hustle – Plutôt le millieu du panier

Nouvelle sortie Netflix de la semaine, Hustle (ou Le Haut du Panier – bravo aux traducteurs), est le nouveau film produit par Adam Sandler et donc distribué par la plateforme américaine a l’international comme le prévoit l’accord entre les deux partis depuis 2014. Cette fois ci l’acteur incarne le rôle de Stanley « Double 2 » Sugarman, un recruteur de talents pour la 76ers en NBA. En perte de vitesse, et voulant se rapprocher de sa famille, il va donc tout faire

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[CRITIQUE] Anatolia – Réminiscence d’un souvenir

Anatolia donne parfois la sensation d’assister à la réminiscence d’un souvenir, celui du réalisateur sur sa jeunesse lorsqu’il était lui aussi perdu au sein du pensionnat. L’Anatolie est une région de la Turquie qui trouve une spécificité, ses fortes neiges lors des hivers aux températures les plus basses. Yusuf est un élève curieux, mais perdu dans le moule scolaire. Lorsque son ami Memo tombe dans un état d’inconscience, c’est à la fois l’esprit du garçon qui est inquiété de son

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[CRITIQUE] Interceptor – Back to the 90’s

Les amateurs de films d’action DTV passeront un bon moment avec l’ambitieux mais économique Interceptor, un film à la fois rafraîchissant, sans prétention et solidement construit qui fait exactement ce qu’il dit sur sa jaquette. On retrouve ici une ambiance de retour aux années 90 très appréciée, avec une protagoniste solitaire déjouant une bande de méchants et surmontant à la fois des problèmes personnels et des obstacles écrasants pour sauver la situation. Ce film n’aurait pas été trop dépaysant dans

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ANALYSE

[ANALYSE] L’Apollonide : souvenirs de la maison close – Écrin absolu

Après des premiers films qui se concentrent sur des personnages masculins, Bertrand Bonello souhaite changer d’horizon. De cette envie nait son cinquième film, L’Apollonide : Souvenirs de la maison close. Au crépuscule du XXᵉ siècle, à Paris, on suit les prostituées de l’Apollonide. L’une d’entre elles, Madeleine (Alice Barnole), rêve régulièrement d’un client qui la demande en mariage. C’est dans la maison close, qui doit son nom à la maison d’enfance de Bertrand Bonello, que se déroule la majorité de

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C'est fini, snif