Rechercher

Étiquette : Drame

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Top Gun : Maverick – Tom Cruise donne des ailes

Top Gun : Maverick est un film que le public attendait depuis longtemps. Les retards de cette suite n’ont fait qu’augmenter les attentes des fans basées sur l’original. Top Gun proposait des combats aériens, des moments de convivialité, des rivalités, des équipes et des familles. Les réalisateurs ont compris ce que le public attendait le plus, ont établi des parallèles avec l’original, ont développé certains thèmes et ont fait en sorte que l’attente de plus de trois décennies pour retourner

LIRE LA SUITE »
LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Goodnight Mommy – Le masque tombe (à l’eau)

Il n’y a rien de mal à vouloir changer les choses dans les remakes, d’autant plus que la version originale de Goodnight Mommy contient un twist dévastateur qui ne devrait pas être intensifié et refait plan par plan. Le réalisateur Matt Sobel (aux côtés du scénariste Kyle Warren) a bricolé l’œuvre horrifiante des cinéastes Veronika Franz et Severin Fiala, le tout pour le pire, ce qui ne permet jamais à cette adaptation américaine d’atteindre les sommets psychologiquement perturbants ou l’ambiance

LIRE LA SUITE »
48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Don’t Worry Darling – Wilde is the disaster artist

À travers les méandres de l’histoire séculaire des États-Unis, le concept du « rêve américain » a émaillé maints discours. Au-delà de sa connotation matérielle axée sur la prospérité, quelle substance revêt-il pour ceux qui y adhèrent ? Une image récurrente s’impose : celle de la paisible maison de banlieue ceinte d’une clôture immaculée, où s’épanouit une famille comblée, enfants rieurs à l’appui. Bien que stéréotypée, cette représentation exerce une influence opérante et obsédante, s’incrustant dans l’imaginaire collectif lorsqu’il s’agit d’envisager la

LIRE LA SUITE »
PAR SAISONS

[RETOUR SUR..] Game of Thrones (Saison 8) – La fin d’une épopée

Préambule Cet article contient de nombreux spoilers. Dès lors, il est vivement conseillé d’avoir regardé la série pour apprécier au mieux la lecture.  Tout le long de cet été, il s’agira de revenir à la manière d’une rétrospective sur chaque saison de la série aux mille merveilles, Game of Thrones. L’idée ici n’est pas totalement d’aborder la série d’un oeil critique mais également de se l’approprier comme une sorte de lettre d’amour faite par un fan, cela en revenant sur

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Are You Lonesome Tonight ? – Un équilibre étrange entre le néo-noir et la romance naissante

Racontée à travers un mélange confus de souvenirs, de flashbacks et de narration, l’histoire suit Xue Ming après qu’il ait accidentellement heurté et tué un homme avec sa voiture. Rongé par la culpabilité, Xue entre en contact avec Liang Ma, la veuve de l’homme. Il tente d’avouer son crime, mais constate à plusieurs reprises qu’il ne peut s’y résoudre. Le réalisateur Wen Shipei trouve un équilibre étrangement satisfaisant entre le style néo-noir et la romance naissante avec son premier film,

LIRE LA SUITE »
ANALYSE

[ANALYSE] Ad Astra – Au Cœur de James Gray

« Le futur proche. Une période d’espoirs et de conflits. L’humanité se tourne vers les étoiles pour chercher une forme de vie intelligente et la promesse du progrès. » C’est par ces mots que James Gray ouvre Ad Astra, son septième film, en 2019. Roy McBride, un explorateur de l’espace incarné par Brad Pitt, a pour mission de retrouver son père impliqué dans un projet qui pourrait détruire tout le système solaire. De la Terre à Mars, en passant par la Lune

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Vortex – De battre mon cœur s’est arrêté

Si l’on vous conviait à considérer un cinéaste capable d’orchestrer une étude discrète et mélancolique sur les affres douloureuses de la vieillesse, vous ne songeriez probablement pas spontanément à Gaspar Noé. Il se trouve que Noé figure parmi les enfants terribles de notre vénérable cinéma français, tristement célèbre pour des œuvres percutantes telles qu’Irréversible et Enter the Void. Son dernier opus, Climax (2019), a peut-être connu une réception quelque peu plus favorable auprès du grand public (en grande partie grâce

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Madres Paralelas – L’histoire de la parenté

Pedro Almodóvar est un maître incontestable du drame, ce n’est pas nouveau, on le sait. Qu’il s’agisse du lien parental comme des épreuves de vie les plus difficiles (deuil, séparation), son cinéma s’intéresse aux changements physiques comme psychologiques de l’individu sur les traversées de son temps. Madres paralelas ne déroge pas au style du cinéaste, conciliant ses obsessions les plus anciennes, entre désir de devenir mère et inconfort de l’être, identités sexuelles, avec une thématique majeure que l’on retrouve de

LIRE LA SUITE »
48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Palm Trees and Power Lines – Sugar Daddy pas cool

L’une des premières images que l’on voit dans Palm Trees and Power Lines (un titre sacrément métaphorique, aussi bouleversant que l’histoire qui se déroule) dit tout ce qu’il faut pour connaître Lea (Lily McInerny, une révélation dans ce qui pourrait être la performance la plus audacieuse, gracieuse et stimulante d’une nouvelle actrice cette année) et rationaliser ses choix. La jeune fille de 17 ans tente de réveiller sa mère (une Gretchen Mol quelque peu négligente et plus intéressée par sa

LIRE LA SUITE »
48ᵉ FESTIVAL DE DEAUVILLE (2022)

[CRITIQUE] Peace in the Valley – Le deuil n’a pas supermarché

Tyler Riggs se distingue en tant que cinéaste exigeant, dont l’art réside dans l’obtention de performances remarquables de ses acteurs. Dans Peace in the Valley, Brit Shaw illumine l’écran de son talent, offrant ce qui pourrait bien être l’apothéose du 48e festival de Deauville. L’œuvre s’ouvre sur une scène de quiétude, une famille joyeuse arpente les allées de l’épicerie en quête de diverses denrées. Tout bascule lorsque retentissent des détonations. Ashley Rhodes (interprétée par Shaw) se mue alors en une

LIRE LA SUITE »
C'est fini, snif