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Étiquette : Comédie

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Wonka – À ne pas confondre avec le réalisateur d’In the Mood for Love

Ce n’est pas la première fois que l’univers de Charlie et la Chocolaterie est adapté au cinéma. Il y a bien sûr eu la version de 1971 par Mel Stuart, dans laquelle le chocolatier extravagant est interprété par Gene Wilder, mais également une seconde en 2005 par Tim Burton. Dans cette seconde version, Willy Wonka est interprété par Johnny Depp ce qui donne une aura bien plus mystérieuse au personnage. Dans le cadre de cet article je ne m’attarderais que

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12E PARIS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL​

[CRITIQUE] Vampire Humaniste cherche Suicidaire Consentant – Don du Sang

Sous ce titre long et amusant se cache le premier long-métrage d’Ariane Louis-Seize, réalisatrice québécoise, et sans aucun doute l’un des films les plus remarquables présentés au PIFFF 2023. Comme l’indique son titre, l’histoire suit Sasha, une vampire humaniste qui cherche un suicidaire consentant pour se nourrir sans violence. Elle croise la route de Paul, un adolescent malheureux, désireux de mettre fin à ses jours. Ensemble, ils parcourent la nuit pour que Paul accomplisse ses dernières volontés avant de succomber

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] La vie Rêvée de miss fran – Trépas sensoriel

Il est admirable de voir des acteurs s’épanouir loin d’Hollywood et des blockbusters. Daisy Ridley, surtout connue pour son rôle de Rey dans la dernière trilogie Star Wars, avait hérité d’un des pires personnages de la saga. Comment lui en vouloir ? À sa place, qui n’aurait pas voulu jouer dans Star Wars ? Maintenant que cette controversée trilogie est terminée, quelques acteurs phares tentent de tracer leur chemin. Certains s’engagent dans le moule des blockbusters, comme Oscar Isaac, tandis

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12E PARIS INTERNATIONAL FANTASTIC FILM FESTIVAL​

[CRITIQUE] Dream Scenario – En rêve et contre tous

L’ouverture du PIFFF 2023 a été marquée par la présentation de Dream Scenario, le dernier film de Kristoffer Borgli, qui avait précédemment captivé le public avec Sick of Myself. Le réalisateur norvégien, déjà familiarisé avec le tournage aux États-Unis, s’entoure pour la première fois d’une équipe prestigieuse, comprenant notamment Nicolas Cage, Julianne Nicholson et Michael Cera. Ce nouveau film est également la dernière production d’A24, le studio qui a conquis le cœur de nombreux spectateurs, bien que pas le mien.

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Winter Break – Le plus émouvant des cadeaux de Noël

Plonger dans ce grand film qu’est Winter Break d’Alexander Payne s’avère être une expérience délicieuse. Ce film, vibrant d’une nostalgie subtile envers une époque révolue du cinéma, saisit avec brio l’essence des années 70 à travers une esthétique et une narration résolument rétro. Bien au-delà de la simple reconstitution historique, il propose une méditation subtile sur la solitude, la douleur et la redécouverte de soi, orchestrée par une étrange alchimie entre trois âmes égarées durant les vacances de Noël. En

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Kaboom – Macron, explosion !

Kaboom incarne le retour aux sources d’Araki, salué par John Waters pour sa virtuosité à revisiter le style provocateur qui caractérisait sa filmographie des années 1990, une période qui a été marquée par des œuvres subversives, ancrées dans une esthétique punk, osant contester les représentations conventionnelles de la sexualité, de la transgression et de la rébellion. Dans ses réalisations antérieures telles que Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere, le cinéaste a sondé les marges de la société en

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Je ne suis pas un héros – Faut pas croire ce que disent les journaux

Je ne suis pas un héros, œuvre inaugurale du talentueux acteur et metteur en scène Rudy Milstein, immerge le spectateur dans les dédales existentiels de Louis, jeune avocat évoluant au sein d’un cabinet prestigieux, dont le destin prend un virage inattendu à la suite d’un diagnostic médical erroné. Arborant une ironie subtile et mordante, cette comédie dresse le portrait d’une société à la fois individualiste et hypocrite, où la maladie devient un levier de manipulation. À travers une observation pointue

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C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] Scott Pilgrim vs the World – Sex, Beau, de la Bombe !

La sortie récente, le 17 novembre, de l’adaptation animée Scott Pilgrim Takes Off offre une occasion parfaite de revisiter la première adaptation des comics de Bryan Lee O’Malley : Scott Pilgrim vs the World, réalisée par Edgar Wright et sortie en salle en 2010. Alors que certains considèrent déjà ce film comme une œuvre culte, d’autres le trouvent ennuyeux voire problématique. L’une des premières inquiétudes que l’on peut soulever à propos de cette adaptation concerne son existence même. Adapter l’intégralité

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La rétrospective GREGG ARAKI

[RETROSPECTIVE] Smiley Face – Sourire à la marijua..vie, vie !

Gregg Araki, éminent représentant du mouvement du Nouveau Cinéma Queer, s’est érigé en un cinéaste dont l’œuvre a constamment bousculé les conventions et les normes du cinéma. Sa trilogie d’apocalypse adolescente des années 90, composée de Totally Fucked Up, The Doom Generation et Nowhere, a attiré l’attention sur les tourments et les luttes des jeunes individus queer, établissant ainsi son statut de pionnier du cinéma queer. Cependant, au cœur de sa « renaissance Arakienne », une réévaluation de son travail met en

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FILMS

[RETROSPECTIVE] Splendeur – Trio gagnant (et amoureux…)

L’œuvre de Gregg Araki s’avère être un terrain propice à une investigation d’envergure, et Splendeur ne saurait faire exception à cette règle, au contraire. Cette comédie polyamoureuse, bien qu’habituellement reléguée aux marges de l’œuvre du cinéaste, se révèle digne d’une exploration minutieuse, tant sur le plan de ses thèmes que de son style, tout en méritant une place distincte au sein de la filmographie du cinéaste. Veronica, incarnée avec brio par Kathleen Robertson, revêt la complexité d’un personnage qui incarne

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C'est fini, snif