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Étiquette : Comédie

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[CRITIQUE] Hospitalité – Parasite serait donc un plagiat ?

Le Japon est une société où les mœurs et le décorum sont tout. C’est bon pour la plupart. La politesse est le pétrole qui fait que la société fonctionne bien. Il a ses problèmes parce qu’il peut s’agir d’un beau vernis utilisé pour dissimuler un comportement malveillant ou pour agir comme un bully forçant les gens à agir de certaines façons. Dans un tel environnement, toutes sortes d’émotions négatives comme la paranoïa et la méfiance peuvent se répandre sous la

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[CRITIQUE] Garçon Chiffon – Lumières éclatantes sur Nicolas Maury

Le monstre aux yeux verts n’est qu’un des problèmes du protagoniste de Garçon chiffon, le premier film de l’acteur français Nicolas Maury (Dix pour cent). Construit entièrement autour de la performance de Maury en tant que protagoniste homme-enfant mercuriel, c’est une comédie-drame douce-amère qui parvient à être hilarante dans une scène et extrêmement touchante dans la suivante. Bien que Maury ne colle pas tout à fait la réception et le film est certainement trop long (1h50 quand même), c’est néanmoins

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[CRITIQUE] Adieu les cons – Attaque semi-frontale sous fond de comédie burlesque

Adieu les cons est un drame comique qui se transforme en un drame romantique inattendu. Avec ses notes automnales, ses dialogues habilement liés et ses blagues réussies, le scénariste et réalisateur Albert Dupontel crée un film émouvant qui aborde les thèmes de la vie, de la mort et de l’amour. Le film suit Suze Trappet (Virginie Efira), une coiffeuse de 45 ans diagnostiquée d’une maladie auto-immune qui lui laisse peu de temps à vivre. Son désir (et maintenant mourant) est

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[CRITIQUE] Mandibules – Taureau trop trop rigolo

Quoiqu’il ne soit pas recommandé de lui confier la conduite d’engins lourds, il n’est pas insensé de confier à Manu, incarné par Grégoire Ludig, la tâche de transporter une précieuse mallette. Celui-ci ne se soucie guère des interrogations, surtout lorsque sa rémunération est dûment assurée. Il est à noter que Manu est dans un besoin pressant de ressources, ayant perdu son domicile et sombrant dans la précarité, se résignant à un maigre abri sur la plage, bien trop près des

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[CRITIQUE] Mitchells vs. the Machines – La technologie nous attaque : chronique animée d’une relation crescendo

À maintes reprises, nous avons entendu les cris d’inquiétude au sujet de notre dépendance sociétale à la technologie, beaucoup proclamant qu’elle conduira à l’extinction éventuelle de la communication humaine conventionnelle telle que nous la connaissions autrefois ou, dans des circonstances plus cataclysmiques, la ruine de la race humaine (pensez à Terminator, Matrix ou I, Robot). Cependant, tout au long de cette horrible manipulation, beaucoup évitent de reconnaître les avantages de la prolifération technologique ainsi; par exemple, comment l’un d’entre nous

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[CRITIQUE] Love and Monsters – Les (Bonnes) grosses bébêtes

L’apocalypse a été un sujet récurrent dans le cinéma, présentée de diverses manières, des zombies de Night of the Living Dead de George A. Romero au cataclysme climatique de The Day After Tomorrow. Parmi ces représentations, Love and Monsters se démarque comme un film d’apocalypse haut de gamme, plongeant les spectateurs dans un monde envahi par des monstres géants. Love and Monsters, réalisé par Michael Matthews, commence par une séquence d’ouverture divertissante qui explique comment un astéroïde menaçant la Terre

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[CRITIQUE] Willy’s Wonderland – Les films de vidéo-club, les grosses boucheries : un Cage Movie.

Grâce à la série de jeux vidéo Five Nights at Freddy, le genre «des animatroniques sur le thème des enfants qui se déchaînent» développe lentement son propre sous-genre d’horreur. Willy’s Wonderland est le dernier à avoir emprunté le décor de style Chuck E. Cheese et à lâcher ses personnages animatroniques tueurs sur des victimes sans méfiance. Au lieu de s’appuyer sur la formule d’inspiration du jeu vidéo, cette comédie d’horreur s’appuie fortement sur son humour potache, conscient de lui-même. Le

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[CRITIQUE] Moxie – Le teenage-movie aux propos importants est trop infantile pour devenir imposant.

Pour un film décrit comme une comédie de lycée, et encore moins une mise en scène de SNL et Amy Poehler de Parks and Recreation, on s’attendrait à ce que Moxie de Netflix soit plus drôle que ça ne l’est. De plus, le film a été décrit de façon intermittente comme une histoire de « rage montante », une identité qu’il embrasse avec beaucoup plus d’enthousiasme que toute autre chose puisqu’il traite d’un certain nombre de sujets sérieux et qu’il

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[CRITIQUE] Tom & Jerry (2021) – La bouillie visuelle nostalgique qui contentera les enfants ignorants

J’ai passé une grande partie de mon visionnage de ce Tom & Jerry en pensant au regretté Bob Hoskins. Alors que je regardais des acteurs talentueux se frayer un chemin à travers un scénario grinçant qui aurait pu tout aussi facilement être déterré dans une capsule temporelle des années 1990, ou des années 1970 ou des années 1950, et embelli un peu, j’ai pensé à quel point cela devait vraiment être difficile. Hoskins a non seulement «interagi» avec des personnages

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[CRITIQUE] Fou de toi – Une niaise romance Netflix qui réussira à vous émerveiller grâce au sujet

Eh bien, Netflix est grand pour faire sortir les films romantiques en ce moment, notamment en déployant À tous les garçons que j’ai aimés et Fou de toi en l’espace de quelques jours. Je commence à penser que le responsable de la programmation est un romantique sans espoir. Fou de toi a un début énergique, présentant deux adultes profitant au maximum d’une nuit après s’être croisés au bar, une fête de mariage et la ruine de la lune de miel

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C'est fini, snif