Étiquette : Antoine Reinartz

C'ÉTAIT QUOI LE CINÉMA ? [RETOUR SUR..]

[RETOUR SUR..] 120 battements par minute – Rester silencieux, c’est rester mort

Situé dans la France des années 1990, le film 120 battements par minute de Robin Campillo nous transporte au cœur d’une histoire intense. Nathan, l’un des nombreux bénévoles engagés dans les actions hebdomadaires d’Act-Up Paris, partage son parcours sexuel tumultueux avec un autre membre avant de dévoiler une expérience tragique qui a profondément bouleversé sa vision du monde. Tel un triste écho, Nathan se souvient : “Dans les magazines, jamais je ne voyais de couples gays. À moins que ce

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Les Damnés ne pleurent pas – Une symphonie de vie et d’espoir

Les Damnés ne pleurent pas, réalisé par Fyzal Boulifa, offre une expérience cinématographique puissante et engageante qui explore de manière audacieuse et authentique les différentes facettes de la condition humaine. Avec une narration solide ancrée dans la tradition cinématographique, Boulifa livre un récit captivant qui suscite la réflexion et interpelle le spectateur. Le film aborde des sujets socialement sensibles et brise les tabous, offrant ainsi une représentation réaliste et nuancée de la vie dans un contexte socioculturel complexe. LA DOUCE

LIRE LA SUITE »
AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Arthur Rambo – La cancel culture par un professeur approximatif

Laurent Cantet trébuche avec Arthur Rambo, une provocation sur la culture de l’annulation et les méfaits des médias sociaux qui semble à la fois inefficace et étrangement dépassée. Cinéaste connu pour son approche humaniste des histoires d’injustice sociale, Laurent Cantet a toujours réussi à trouver le cœur battant qui se cache sous les titres et les statistiques apparemment banals qui encombrent quotidiennement les journaux et les chaînes d’information télévisées, qu’il s’agisse des conséquences du chômage généralisé et de la cupidité

LIRE LA SUITE »