[CRITIQUE] Willy’s Wonderland – Les films de vidéo-club, les grosses boucheries : un Cage Movie.
Grâce à la série de jeux vidéo Five Nights at Freddy, le genre «des animatroniques sur le thème des enfants qui se déchaînent» développe lentement son propre sous-genre d’horreur. Willy’s Wonderland est le dernier à avoir emprunté le décor de style Chuck E. Cheese et à lâcher ses personnages animatroniques tueurs sur des victimes sans méfiance. Au lieu de s’appuyer sur la formule d’inspiration du jeu vidéo, cette comédie d’horreur s’appuie fortement sur son humour potache, conscient de lui-même. Le