[CRITIQUE] Le mal n’existe pas – Un cycle naturel
[CQL’EN BREF] Monkey Man (Dev Patel)
[RETOUR SUR..] Smooth Talk – Loup y-es tu ?
[CRITIQUE] Quitter La Nuit – Trouver Le Jour
[CQL’EN BREF] Le Salaire de la peur (Julien Leclerq)
[CQL’EN BREF] Et plus si affinités (Olivier Ducray & Wilfried Méance)
[CRITIQUE] Black Flies – Sombrer en lourdaud
[CRITIQUE] Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire – Terre et Tête Creuses
ACTUALITÉ CINÉMA – EN SALLES, (S)VOD, ETC..
[CRITIQUE] Kung fu panda 4 – C’est po de bol
[CRITIQUE] Borgo – La Belle et la Meute
[CRITIQUE] Le mal n’existe pas – Un cycle naturel
[CQL’EN BREF] Monkey Man (Dev Patel)
[CRITIQUE] S.O.S. Fantômes : La Menace de glace – Polluer nos esprits
[CRITIQUE] Bis Repetita – Veni vidi vici
[CRITIQUE] Drive-Away Dolls – Odyssée saphique qui pique
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[CRITIQUE] Quitter La Nuit – Trouver Le Jour
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[CRITIQUE] Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire – Terre et Tête Creuses
[CRITIQUE] La Jeune fille et les paysans – La belle et les bêtes
[CRITIQUE] Une Famille – Sur les traces de “lui”
[CRITIQUE] Los Delincuentes – Quand braquage rime avec surcadrage (FEMA 2023)
[CQL’EN BREF] Monkey Man (Dev Patel)
Le cinéma d’action américain est malheureusement monopolisé et sclérosé par la saga John Wick, et au vu des premières images, on pouvait légitimement se demander si Monkey Man allait être une énième copie. Dev Patel, qui signe ici sa première réalisation, embrasse totalement ces attentes. Dès le début il nous signifie qu’il souhaite s’en démarquer, à travers une courte scène chez un vendeur d’armes où l’on demande au protagoniste s’il souhaite acheter les mêmes flingues que ceux du célèbre tueur à gages incarné par Keanu Reeves. Il choisit plutôt un colt 45, plus classique et brut de décoffrage que ces pistolets modernes. La note d’intention de l’acteur-cinéaste est claire, et l’on est tout de suite embarqués dans la vengeance de
[CQL’EN BREF] Le Salaire de la peur (Julien Leclerq)
Le roman de Georges Arnaud, Le Salaire de la peur, a été adapté au cinéma à deux reprises : d’abord par Henri-Georges Clouzot en 1953, puis par William Friedkin avec Sorcerer en 1977. Malgré ces précédents succès, l’espoir d’une réussite pour la dernière tentative de Julien Leclerq s’avérait mince, étant donné la sensation de déjà-vu qui l’entourait. Malheureusement, cette fois-ci, l’expérience s’avère être un naufrage. Leclerq transpose l’action du roman de l’Amérique latine vers un pays du Moyen-Orient en proie à des troubles politiques, créant ainsi un contexte qui aurait pu offrir une lueur d’originalité. Cependant, même cette tentative de renouveau échoue lamentablement. Fred (Franck Gastambide) et son frère Alex (Alban Lenoir), ce dernier étant un expert en démolition, se