Catégorie : CRITIQUE

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Ambulance – Course contre la mort

C’est le retour de Michael Bay au cinéma, depuis le catastrophique cinquième volet de Transformers, et un passage laborieux sur Netflix avec Six Underground. Inspiré d’un film Danois sorti en 2005, Ambulance raconte l’histoire de deux frères adoptifs, incarnés par Jake Gyllenhaal et Yahya Abdul-Mateen, qui se lancent dans un braquage de banque, mais leur évacuation ne se passe pas comme prévu et sont contraints de voler une ambulance, prenant ainsi en otage une infirmière (Eiza Gonzalez), et un jeune

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[CRITIQUE] Drive My Car – Se guider

Drive My Car évoque par beaucoup d’aspects, l’affranchissement de l’artiste et le dépassement des barrières de la communication, ce qui n’est pas très étonnant lorsque l’on sait que le long-métrage est l’adaptation d’une nouvelle écrite par Murakami.  Le personnage principal, Yusuke est un acteur et metteur en scène marié à une dramaturge, Fukaku.  Suite au décès de sa femme atteinte d’une hémorragie méningée, il tente pour une nouvelle fois de mettre en scène la pièce de Tchekhov « Oncle Vania », tout

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[CRITIQUE] Jack Mimoun et les secrets de Val Verde – Une aventure qui manque d’essence

À l’annonce de ce projet de comédie d’aventure produit par Pathé et porté principalement par Malik Bentalha (réalisateur, scénariste et acteur) en janvier 2019, on pouvait avoir peur du résultat. Quelques années plus tard, nous avons eu les premières images et l’annonce d’un casting de soutien plutôt prestigieux avec des acteurs tels que Joséphine Japy, Jérôme Commandeur, François Damiens et Benoît Magimel qui vient de recevoir un César. C’est alors que nos craintes se sont estompées. La comédie est drôle,

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ANALYSE

[ANALYSE] Les Sept Samouraïs (1954) – Le chanbara ultime ?

Akira Kurosawa était un metteur en scène de génie, on le sait. Fervent admirateur du cinéma américain de John Ford comme de l’écriture d’un William Shakespeare, ce n’est pas par hasard qu’il affectionnait tant le genre du chanbara (film de sabre japonais) lui permettant de revisiter ses influences majeures (voir les shakespeariens Ran et Le Château de l’Araignée, la mise en scène de John Ford pour les grands angles et la construction des récits) tout en leur apportant sa touche

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[CRITIQUE] S.O.S. Fantômes : L’héritage – La question de la succession

” I missed you my friend” A Harold Ramis. Enfant je regardais en boucle les S.O.S. Fantômes, mon père était un grand fan des films et il possédait une superbe édition de chacun de ces deux films. Je connais encore par cœur les répliques et je revois régulièrement ces films. Les films de fantômes sont des œuvres qui viennent toucher personnellement les spectateurs, et cela depuis la création du cinéma. Le genre du fantôme est l’un des tout premiers genres

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[CRITIQUE] BAC NORD – De l’Assaut à la Fourrière pour Chiens

Après ses trois premiers films, on sentait que le réalisateur et scénariste Cédric Jiménez allait tôt ou tard libérer entièrement son potentiel pour rénover le cinéma français et plus spécifiquement le thriller. Sa direction d’acteurs, son partenariat comme dans ses précédents films avec Audrey Diwan et son désir de faire sortir ses acteurs de leur zone de confort éclatent littéralement sous nos yeux dans son quatrième film Bac Nord. On sent dans chaque plan de son film une réelle intention

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[CRITIQUE] L’Innocent – Braquage à la Française

4ème long-métrage pour Louis Garrel en tant que réalisateur, notamment après L’Homme Fidèle et La Croisade. L’Innocent raconte l’histoire d’Abel, pris d’angoisse après le mariage de sa mère avec un homme en prison. Avec sa meilleure amie Clémence, il va tout faire pour la protéger. Un film nettement plus ambitieux que ses précédents, sans oublier la légèreté de ton et l’humour qu’on lui connaît.  Louis Garrel, toujours empreint d’un brillant sens du rythme pour les dialogues, est bien épaulé par

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[CRITIQUE] En attendant Bojangles – Un air de conte de fées

Cette adaptation du best-seller d’Olivier Bourdeaut flirte entre la comédie déjantée et le drame tragique, et tient bon grâce à l’énergie des acteurs impliqués. Bien que réaliste par nature, l’histoire dégage un air de conte de fées rêveur, marqué du signe “français” qui implique des qualités au niveau du décor, de l’esthétique et de la mise en scène. En le regardant, on a l’impression de lire un livre pour enfants, mais il s’agit simplement d’une histoire d’amour avec des traces

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[CRITIQUE] Butterfly Vision – La réalité a rattrapé la dévastation imaginée

De retour chez elle après avoir été retenue en captivité pendant deux mois, la soldate Lilia découvre qu’elle est enceinte après avoir été violée par son gardien. Parviendra-t-elle à survivre à ce traumatisme et à sauver l’enfant dans une société qui n’est pas prête à les accepter ? Butterfly Vision a incontestablement bénéficié d’un timing incroyable pour son sujet pertinent, qui dramatise le conflit russo-ukrainien. L’action se déroule en 2014 pendant le conflit du Donbas. Lilia (Marharyta Burkovska) est une

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LES EXCLUSIVITÉS DU STREAMING

[CRITIQUE] Entergalactic – Into the “Kid Cudi” verse

Aujourd’hui, nous ne sommes pas surpris de savoir que Netflix faisait de l’animation, ni de constater qu’il est possible de réaliser une histoire en animation mature, destinée à un public adulte. Entergalactic confirme les deux observations précédentes, se révélant être un excellent film d’animation capable de s’adresser à un public adulte. Le projet est né de Scott “Kid Cudi” Mescudi et Kenya Barris et dispose d’un casting d’acteurs de grande importance, du moins pour la version originale : de Mescudi

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C'est fini, snif