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Mois : juillet 2022

AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] To Kill The Beast – Où qu’elle est la bête ?

Avouons-le, nous sommes peu familier du cinéma d’Amérique latine. Ce sont des films peu distribués en France, et nous ne connaissons pas bien ou peu les problèmes politiques de ces pays. Mais lorsque nous sommes confrontés à ce cinéma, comprenons-nous correctement les enjeux ? C’est la question que je me suis la plus posée face à To Kill the Beast. Réalisé par Agustina San Maria, le film raconte l’histoire d’Émilia une jeune Brésilienne à la recherche de son frère disparu.

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PAR SAISONS

[RETOUR SUR..] Game of Thrones (Saison 1) – La mort de l’honneur

Préambule Cet article contient de nombreux spoilers. Dès lors, il est vivement conseillé d’avoir regardé la série pour apprécier au mieux la lecture.  Tout le long de cet été, il s’agira de revenir à la manière d’une rétrospective sur chaque saison de la série aux mille merveilles, Game of Thrones. L’idée ici n’est pas totalement d’aborder la série d’un oeil critique mais également de se l’approprier comme une sorte de lettre d’amour faite par un fan, cela en revenant sur

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Entre la vie et la mort – Entre Taken et El Reino

Entre La Vie et la Mort c’est un thriller franco-belgo-espagnol réalisé par Giordano Gederlini, que vous connaissez surement pour Les Misérables dont il a écrit le scénario. Mais c’est surtout le nouveau film porté par Antonio de La Torre, grand acteur espagnol et la tête d’affiche la plus talentueuse des thrillers espagnols contemporains (comme La Colère d’un Homme patient ou encore El Reino). Et rien que pour lui Entre la Vie et La Mort mérite que vous alliez le voir.

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ANALYSE

[ANALYSE] La Communion – La grâce éternelle

2019 fut une année fructueuse pour le cinéma, conjuguant succès critiques et commerciaux, avec des œuvres telles que Parasite de Bong Joon-ho, Once Upon A Time in Hollywood de Tarantino ou encore Les Misérables, de Ladj Ly. Mais cette abondance de film en occulta d’autres et La communion, ou Boże Ciało en polonais (qui signifie littéralement Corpus Christi en polonais – d’où le titre anglais – soit le corps du christ en latin) fait parti de ces films reclus. Alors

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PAR SAISONS

[CRITIQUE] Seul face à l’abeille – Atkinson contre son destin

Cela faisait un moment que nous n’avions pas vu Rowan Atkinson sur les écrans, et on souhaite corriger cela dans cette critique de la série comique Seul face à l’abeille, dont le principe est très simple : un homme contre une abeille, à plusieurs reprises, avec des résultats désastreux (pour l’homme). Un concept éternel, presque une version live-action de certains des plus célèbres courts-métrages de Donald Duck (avec lesquels Atkinson partage l’utilisation massive d’expressions faciales et, dans des cas spécifiques

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] After Yang – Origines spirituelles

Grâce à son sens plastique inné, les films de Kogonada sont parmi les plus captivants du cinéma actuel. Sa capacité à composer des plans d’environnements et de personnes qui les habitent, magnifiquement conçus et richement élaborés, rend ses films visuellement et singulièrement spéciaux. Ajoutez à cela sa capacité de conteur à explorer des histoires profondément spirituelles qui réfléchissent au sens de la vie, et vous constaterez que regarder un film de Kogonada est une expérience véritablement transcendante. Ce qui est

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AUJOURD'HUI, LE CINÉMA

[CRITIQUE] Music Hole – Belge et bien fou

Il y a quasiment trente ans sortait sur nos écrans une comédie noire belge qui allait révolutionner le genre : C’est arrivé prés de chez vous. Un long-métrage qui nous a fait découvrir un tout jeune Benoît Poolvoerde, mais qui surtout nous avait montré que les Belges savent y faire avec l’humour noir ! Gaëtan Liekens et David Mutzenmacher embrassent cet héritage, le transposent au goût du jour et viennent réitérer l’exploit. En signant un film choral trash et déjanté

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[CRITIQUE] La Princesse – Sur son donjon perché

La Princesse ne perd pas une seconde avant de lancer la mariée éponyme dans l’action. C’est sans doute la décision la plus judicieuse prise par les scénaristes Ben Lustig et Jake Thornton, et ce pour plusieurs raisons : l’histoire est un concept simple qui n’a pas besoin d’une mise en place élaborée, et étant donné le calendrier malencontreux de la sortie du film, qui a vu l’abrogation du droit à l’IVG des femmes américaines, on n’a pas vraiment envie qu’un

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[CRITIQUE] Beauty – Une fanfiction quelque peu flagrante de Whitney Houston

Beauty, le quatrième long métrage d’Andrew Dosunmu, est destiné à être le film le plus étrange de sa filmographie. Au départ, ce film est vaguement décrit comme l’histoire d’une jeune femme noire qui accède du jour au lendemain à la célébrité après avoir signé un contrat d’enregistrement destiné à faire d’elle une icône de la chanson. Le deuxième long métrage de fiction écrit par la polyvalente Lena Waithe (Queen and Slim) se révèle rapidement être une fanfiction quelque peu flagrante

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[CRITIQUE] The Man from Toronto – Rater sa cible

Déposé sur Netflix pour être perdu à jamais dans les algorithmes, le détour par Patrick Hughes de la franchise Hitman & Bodyguard est un film de potes des années 80, ce qui n’est pas forcément une critique, mais dans le cas de The Man From Toronto, un film qui ressemble à un simple scénario dépoussiéré provenant des archives d’un studio défunt, et sauvé uniquement par l’enthousiasme de Kevin Hart. Utilisant un concept amusant mais familier, un concept que Game Night

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C'est fini, snif