[ANALYSE] L’Apollonide : souvenirs de la maison close – Écrin absolu
Après des premiers films qui se concentrent sur des personnages masculins, Bertrand Bonello souhaite changer d’horizon. De cette envie nait son cinquième film, L’Apollonide : Souvenirs de la maison close. Au crépuscule du XXᵉ siècle, à Paris, on suit les prostituées de l’Apollonide. L’une d’entre elles, Madeleine (Alice Barnole), rêve régulièrement d’un client qui la demande en mariage. C’est dans la maison close, qui doit son nom à la maison d’enfance de Bertrand Bonello, que se déroule la majorité de