Mois : mai 2021

PAR SAISONS

[CRITIQUE] Love, Death & Robots (Saison 2) – Pas de réinvention pour maîtriser l’animation à la perfection.

Il y a un niveau de liberté dans la narration que les séries d’anthologies permettent, ce qui est souvent impossible ailleurs. Le format a explosé au cours de la dernière décennie, en particulier en ce qui concerne la narration de genre. Love, Death & Robots ne bénéficie pas seulement de la polyvalence de son format d’anthologie, mais aussi de la nature illimitée de l’animation, ainsi que de la nature révolutionnaire de la science-fiction et de l’horreur. La première saison de

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[CRITIQUE] Falling – L’Amérique puritaine en plein bouleversement

Falling commence avec le jeune Willis Peterson (Sverrir Gudnason) qui ramène sa femme Gwen (Hannah Gross) et le nouveau-né John à sa ferme près de la petite ville de Boonville dans le nord de l’État de New York. En privé, alors qu’il regarde Gwen endormie dans la voiture et que John gargouille à côté d’elle, Willis sourit avec un amour visible, mais alors à l’intérieur de la maison, avec Gwen allant chercher de l’eau et une nouvelle couche dans une

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[CRITIQUE] Adieu les cons – Attaque semi-frontale sous fond de comédie burlesque

Adieu les cons est un drame comique qui se transforme en un drame romantique inattendu. Avec ses notes automnales, ses dialogues habilement liés et ses blagues réussies, le scénariste et réalisateur Albert Dupontel crée un film émouvant qui aborde les thèmes de la vie, de la mort et de l’amour. Le film suit Suze Trappet (Virginie Efira), une coiffeuse de 45 ans diagnostiquée d’une maladie auto-immune qui lui laisse peu de temps à vivre. Son désir (et maintenant mourant) est

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[CRITIQUE] Mandibules – Taureau trop trop rigolo

Quoiqu’il ne soit pas recommandé de lui confier la conduite d’engins lourds, il n’est pas insensé de confier à Manu, incarné par Grégoire Ludig, la tâche de transporter une précieuse mallette. Celui-ci ne se soucie guère des interrogations, surtout lorsque sa rémunération est dûment assurée. Il est à noter que Manu est dans un besoin pressant de ressources, ayant perdu son domicile et sombrant dans la précarité, se résignant à un maigre abri sur la plage, bien trop près des

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[CRITIQUE] La Femme à la fenêtre – Melting-pot de flatteries

Le film de Joe Wright La Femme à la fenêtre doit beaucoup à presque tous les films d’Alfred Hitchcock jamais réalisés, en particulier dans leur ton, leurs visuels et leur humeur. Encore une fois, vous ne pouvez pas blâmer Wright parce que le matériel source par A.J. Finn est une arnaque directe de ces films. L’un étant Fenêtre sur cour, et l’autre, dans une moindre mesure, Psychose. Il faut se demander si le film et les créateurs ont payé pour

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[CRITIQUE] Le Monstre – Harrison continue de briller

La réplique cinglante du procureur Anthony Petrocelli, “Il regarde une partie de moi“, résonne dans la salle d’audience, empreinte de racisme et de cynisme. Pourtant, même lui semble surpris par la crédibilité de ses propres paroles. Face à lui, l’avocate de la défense Katherine O’Brien arbore un scepticisme palpable. Elle demande cinq à sept ans pour son client, un jeune Noir accusé de complicité de meurtre dans un vol à main armée. Steve, joué par Kelvin Harrison Jr., déborde de

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[CRITIQUE] Mortal Kombat – Quelques failles pour la victoire !

S’attaquer à une nouvelle adaptation d’une franchise de jeux vidéo bien-aimée toujours en cours depuis 1992 ressemble à une tâche herculéenne. Avec un peu plus de vingt jeux sur toutes les plateformes, près d’une centaine de personnages, des décennies de mythologie, et une adaptation de fonctionnalité chérie en 1995, l’intersection pour apaiser les fans de longue date et les tout nouveaux s’estompe rapidement. Mortal Kombat tente ambitieusement de tout faire, un monomythe conventionnel bourré de fan service et de scènes

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[CRITIQUE] Oxygène – Aja et Netflix, un duo surprenamment solide

Oxygen est le prochain film du réalisateur français Alexandre Aja. Vous vous souviendrez peut-être de son dernier film Crawl, un thriller étonnamment divertissant au sujet d’un père et d’une fille pris au piège dans leur maison inondée d’alligators tueurs pendant un ouragan de catégorie 5. J’admets que sur papier, cela semblait ridicule, mais ceci montrait en fait qu’Aja était un cinéaste rusé capable de capturer des actions déchirantes, serrées et de créer une tension authentique. Je suis entré dans Crawl

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[CRITIQUE] Dans les angles morts – L’horreur est partout, sauf dans le casting

James Norton et Amanda Seyfried font un travail merveilleux en couple marié cliché quittant la ville pour consommer la tranquillité de la vallée d’Hudson. Leurs personnages, George et Catherine Claire, témoignent d’un mariage qui s’efforce de se comprendre. Catherine estime que George a fait beaucoup de sacrifices pour elle, donc bien sûr, elle estime qu’il est juste qu’elle l’aide à poursuivre son rêve d’être un professeur idolâtré dans le beau pays. C’est ainsi que l’histoire est présentée dans Dans les

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[CRITIQUE] Le Passager nº 4 – Platitude et frustration, vide récit spatial

Je ne sais pas si le film de Joe Penna (Arctic) est le résultat de la pandémie actuelle. L’année prochaine ne sera-t-elle rien d’autre que des tournages goulots avec un casting limité à trois ou quatre acteurs ? Une ou deux étoiles décentes avec quelques personnes de la télévision pour rendre l’expérience passable ? Vous pouvez presque sentir le personnel du studio se précipiter dans l’enfer du développement où les scripts ont été la collecte de la poussière pendant des

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C'est fini, snif